Le Complexe d’Eden Bellwether
Benjamin Wood Le Complexe d’Eden Bellwether

Roman traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Renaud Morin
Prix Baudelaire de la traduction – Prix du Roman Fnac




Coups de cœur des libraires

« Campus de Cambridge, Oscar entend la mélodie de l’orgue de la chapelle du King’s College et est irrémédiablement attiré vers elle. Il rencontrera Iris et Eden Bellwether. Avez-vous déjà entendu parler de la théorie comme quoi la musique peut hypnotiser un corps ? Eden, lui, la connaît très bien… Un mot pour ce livre : hypnotique ! »

Léann de la librairie l'Aquarium à Houilles

« Un livre qui vous fera vous coucher très tard, porté par un personnage imbuvable et ô combien fascinant... Bigre, voilà un premier roman très curieux, assez virtuose, ambiance Maître des illusions à Cambridge, ça vaut le détour ! » Lola, Librairie Calligrammes - La Rochelle

« La frontière est parfois mince entre génie et folie... À travers la musique baroque et sa puissance hypnotique, Eden Bellwether manipule. Il joue, il endort, fait souffrir puis répare, comme par magie. De jeux pervers en démences, sa personnalité intrigante devient des plus inquiétante... Jusqu’où pourrait-il aller pour prouver son génie ? Un premier roman bluffant ! » Chloé Dolain, librairie Millepages — Vincennes 
Coup de cœur de Jérôme Toledo de la librairie les Cyclades de Saint-Cloud
« Pour son premier roman, Benjamin Wood maîtrise subtilement son intrigue et prend, semble­-t­-il, un malin plaisir à faire douter son lecteur. Malgré un récit fort simple, on passe par toutes les émotions, toutes les hypothèses, toutes les sympathies pour tel ou tel personnage. Le tout dans dans une délicieuse et inquiétante ambiance anglaise… » Sébastien, librairie Quai des mots — Épinal
« C’est brillant, enlevé, le rythme et la progression de l’intrigue (qui comprend tous les ingrédients d’un vrai thriller sans jamais en être
un : envoûtement, torture, jeu mental, meurtre, pervers narcissique...) sont très bien mis en valeur par une écriture directe, limpide, intelligente, qui traite le lecteur avec honnêteté. C’est éblouissant de maîtrise, encore plus lorsque l’on pense qu’il s’agit d’un premier roman. C’est aussi un grand roman qui revisite
avec brio et fantaisie des thèmes classiques de la littérature, depuis le noyau familial oedipien jusqu’à l’apprentissage de la vie dans la rencontre de l’amour et du sentiment de mortalité. LE COMPLEXE D’EDEN BELLWETHER est l’une des meilleures surprises
puissamment romanesque de cette rentrée littéraire, et ceux qui s’y aventureront auront bien du mal à ne pas le dévorer d’une traite. » Jean Milbergue, librairie Labyrinthes — Rambouillet
« Roman sur l’adolescence. Oscar est un jeune garçon bien sage, il travaille dans une maison de retraite. Un jour, il rentre dans une église, attiré par le son d’un orgue. Il va faire la connaissance d’Eden, garçon étrange, narcissique et éxubérant, ainsi que de sa soeur Iris dont il tombe amoureux. Je ne l’ai pas lâché ! » Sandrine, librairie Le Monde d’Arthur — Meaux
« Premier roman et déjà un coup de maître ! Dans l’atmosphère feutrée du King’s College à Cambridge, une implacable histoire de manipulation autour du pouvoir hypnotique de la musique baroque. Une intrigue diabolique, au charme vénéneux, doublé d’une réflexion sur les rapports entre l’art, la folie et la manipulation... Une grande réussite ! » Charlie Lafranque, librairie Le Comptoir des mots — Paris
« Entre intrigue psychologique et rebondissements savoureux, Benjamin Wood tisse un premier roman remarquable sur la folie des génies et l’entêtement des plus faibles. » Katia, librairie L’Usage du Monde — Paris 
« Quel livre ! Quel talent ! Quelle histoire ! » Maïté Blatz, librairie Le Roi —Paris 
« Dans ce "campus novel" maîtrisé de bout en bout, Benjamin Wood nous fait déambuler dans un labyrinthe d’émotions où se côtoient les frontières du génie et de la folie. Un roman manichéen où l’on aime se perdre. » Librairie Les Traversées  — Paris
« Qui est vraiment Eden Bellwether ? Un homme doué du pouvoir de guérison par la musique ou un manipulateur hors norme ? Oscar, amoureux de sa sœur, hésite entre attraction et répulsion. » Librairie La Mandragore — Chalon-sur-Saône
« Un bon vrai roman avec des personnages fouillés et déroutants qui vont s’entremêler dans les mailles d’une intrigue bien maîtrisée. Coup de cœur garanti pour ce premier roman très réussi. Un roman qui plaira à tous, même aux jeunes adultes ! » Laura, librairie La Maison Jaune — Neuville-sur-Saône 

« L’auteur mène de main de maître une intrigue qui tient en haleine jusqu’au bout. Écriture fluide, beaucoup d’érudition et des références liées à la problématique des frontières entre génie et folie. Chaque personnage est intéressant et sert à sa manière le fil de l’intrigue. Passionnant de bout en bout. Ce jeune auteur ira loin. » Denise, librairie La Maison Jaune — Neuville-sur-Saône 
« L’écriture se déroule, fluide, sans accrocs. Un (très grand) premier roman. » Aintzane Caralp, librairie Jakin — Bayonne 
« Un livre très prenant qu’on a du mal à lâcher ! À découvrir ! » Aurore Grandidier, librairie La Fabrique — Bar-le-Duc
« Comme dans un conte, l’auteur tisse un toile dans laquelle le lecteur est pris. L’atmosphère de cette université (King’s College) n’est pas sans rappeler David Lodge, le côté dramatique est digne de Shakespeare et l’intrigue teintée de psychologie pourrait être de l’Agatha Christie. (...) Ce premier roman est une belle réussite. » Marie-Dominique Jean, librairie OCEP — Coutances
« Avec ce premier roman, Benjamin Wood nous entraîne dans un monde où s’entrecroisent folie, manipulation, génie et perversité. À découvrir sans tarder. » Librairie de Paris — Saint-Etienne
« Un premier roman intriguant, fascinant, qui hisse d’emblée son jeune auteur au rang des grands ! Une très belle découverte. » Librairie Pax — Liège (Belgique)
« Tirant les ficelles d’une intrigue habilement ficelée, l’auteur manipule avec adresse les nerfs du lecteur, le poussant à tourner sans relâche les pages de ce roman diabolique. » Librairie C’est la faute à Voltaire — Amboise
« Qui est réellement Eden Bellewether ? Oscar Lowe, le personnage principal, est prêt à tout pour le percer à jour. À travers une intrigue maîtrisée du début jusqu’à la fin, Benjamin Wood fait le portrait d’un personnage troublant qui nous fait hésiter entre répulsion et attraction. Un premier roman original et captivant ! » Librairie Georges — Talence 
« Histoire d’amour, confrontation de deux milieux sociaux, hommage à la musique, ce roman envoûte jusqu’à la dernière page et nous fait réellement regretter de quitter Oscar à la fermeture du livre. » Librairie La Préface — Colomiers 
« Un premier roman magistral sur les frontières entre génie et folie, la manipulation et ses jeux pervers » Librairie Dialogues — Brest
« Un livre qu’on a du mal à poser : la prose de Wood glisse sans effort de page en page. Un excellent roman mariant musique, littérature, religion & science, vie & mort, avec une dose malsaine de folie : tout le livre est basé sur un complot astucieusement amené. Avec ce roman gothique et psychologique, Benjamin Wood est sans aucun doute un maître de la tension. » Mathilde, librairie La Compagnie des livres — Vernon
« Si la beauté musicale d’un chœur ouvre les portes de l’amour, elle livre le héros aux griffes d’un mégalomane narcissique. Pour son premier roman, Benjamin Wood délivre une intrigue psychologiquement dense qui n’hésite pas à chatouiller les codes du thriller. Un œuvre immersive et prenante, en somme une belle réussite littéraire. » Adrien, librairie Préambule — Cassis
« Un des gros coups de cœur de cette rentrée ! À Cambridge, Oscar est irrésistiblement attiré par le son d’un orgue provenant d’une chapelle sur le campus. Il y rencontre l’organiste, Eden Bellwether, et sa sœur Iris. Très vite, il entre dans leur cercle d’amis et découvre qu’Eden, étudiant brillant à la personnalité trouble, est capable de générer un état d’hypnose grâce à la musique baroque. Benjamin Wood, jeune auteur très très prometteur, nous emmène à la frontière entre le génie et la folie. C’est brillant et mené de main de maître. » Nadia Champesme, librairie Histoire de l’Oeil — Marseille