Joca Reiners Terron
La Mort et le Météore
Roman traduit du portugais (Brésil) par Dominique Nédellec
Coups de cœur des libraires
« La tribu des Indiens kaajapukugi, quasiment exterminée au Brésil, est recueillie par le Mexique, qui leur offre un asile. Au même moment, le spécialiste qui les a découverts, Boaventura, est retrouvé mort. Il a laissé une vidéo dans laquelle il confesse un secret de longue date : une toute autre vérité va être révélée sur la tribu. Un roman passionnant et très critique sur les traitements réservés aux peuples indigènes. » Cécile, librairie Raconte-moi la Terre — Lyon
« Alors que la tribu primitive des Kaajapukagi est menacée par le développement urbain en Amazonie, elle trouve refuge au Mexique aidée par une équipe de chercheurs et d’un curieux anthropologue.
Roman engagé, enquête déroutante et récit magique, l’auteur livre ici son féroce combat pour défendre la forêt amazonienne et ses derniers habitants. » Manon, librairie Les Lisières — Villeneuve d’Ascq
« Une bombe. Un récit d’anticipation brésilien absolument grinçant à découvrir sans plus attendre. » Librairie La Géosphère — Montpellier
« L’auteur nous fait glisser entre monde réel et ésotérique, sur les traces des derniers indiens de leur clan, au travers de leurs croyances et vers leur fin annoncée.
Un roman engagé et prenant, à la plume acérée, qui nous plonge dans une cosmogonie fantastique et sur un thème des plus actuel. » Librairie Livresse — Villeneuve-sur-Lot
« Vous cherchez un concentré de désenchantement de l’être ? Lisez vite La Mort et le Météore ! » Samuel Pouvereau, Librairie L’Amandier — Puteaux
« Un faux-polar métaphysique, qui nous plonge dans les profondeurs de la jungle et des politiques indigénistes. Fin connaisseur des enjeux et des spiritualités des premières nations, Joca Reiners Terron nous démontre qu’à défaut de bulldozers, les bonnes intentions se chargent de paver l’enfer amazonien. Un roman addictif, qui s’amuse à semer le doute dans les esprits cartésiens. » Librairie Passages — Lyon
« La fantastique et néanmoins tragique destinée des Kaajapukagi, tribu indienne d’Amazonie au comportement étrange et aux rites mystérieux. Victime du développement urbain sur son territoire, la tribu est condamnée à fuir sa terre et son pays. Avec l’aide d’une équipe de chercheurs et d’anthropologues, elle va trouver refuge au Mexique. Mais coupée de ses racines elle va commettre l’irréparable.
Un roman enragé et engagé qui défend la forêt amazonienne et ses tribus primitives qui refusent toute notre civilisation. A découvrir absolument !! » Brice
Un roman enragé et engagé qui défend la forêt amazonienne et ses tribus primitives qui refusent toute notre civilisation. A découvrir absolument !! » Brice
« Roman fou, épopée baroque aux multiples mystères, et autant de trouvailles.
Roman de la quête intérieure et de la rédemption.
Roman qui embrasse la cause politique et écologique.
Comme une farce qui tourne au vinaigre.
L’invention y est délirante, de ces délires auxquels on adhère puisqu’ils sont vraisemblables. Et c’est un tour de force, nous embarquer comme ça sans qu’on n’y prenne vraiment garde, à la découverte d’un peuple qui n’existe pas. Une aventure dans laquelle on s’engouffre l’œil nouveau et l’esprit vierge.
Traversée par la folie d’un homme qui pensait peut-être pouvoir se sauver lui-même en venant en aide aux 50 derniers indiens Kaajapukugi, La mort et le météore est une onde virtuose qui virevolte de fracas en frasques, de fulgurances en zones d’ombre.
Une écriture à l’imagination débordante, qui foisonne et défrise, un peu cinglée sur les bords, parfois excessive, mais à la luxuriance géniale !
Le météore est un astre qui brille autant qu’il effraie,
la mort un boulon dans une grande chaîne de boulons. » Fabien – Decitre Grenoble
Roman de la quête intérieure et de la rédemption.
Roman qui embrasse la cause politique et écologique.
Comme une farce qui tourne au vinaigre.
L’invention y est délirante, de ces délires auxquels on adhère puisqu’ils sont vraisemblables. Et c’est un tour de force, nous embarquer comme ça sans qu’on n’y prenne vraiment garde, à la découverte d’un peuple qui n’existe pas. Une aventure dans laquelle on s’engouffre l’œil nouveau et l’esprit vierge.
Traversée par la folie d’un homme qui pensait peut-être pouvoir se sauver lui-même en venant en aide aux 50 derniers indiens Kaajapukugi, La mort et le météore est une onde virtuose qui virevolte de fracas en frasques, de fulgurances en zones d’ombre.
Une écriture à l’imagination débordante, qui foisonne et défrise, un peu cinglée sur les bords, parfois excessive, mais à la luxuriance géniale !
Le météore est un astre qui brille autant qu’il effraie,
la mort un boulon dans une grande chaîne de boulons. » Fabien – Decitre Grenoble
