Éden
Auður Ava Ólafsdóttir Éden

Roman traduit de l’islandais par Éric Boury

Nouveauté



Coups de cœur des libraires

« Quel beau roman nous a offert notre écrivaine islandaise préférée ! Depuis Rosa Candida, son talent à décrire les relations humaines et les émotions de ses personnages dans une langue délicate et poétique nous enchante. La très belle couverture aux couleurs toniques et le titre du roman, Eden, sont une première porte à ouvrir pour pénétrer dans l'univers d'Alba. Alba est linguiste et n'est plus toute jeune mais suite à une volonté bien actuelle de diminuer son empreinte carbone, elle va prendre des décisions qui vont bouleverser sa vie en profondeur : l'achat d'un terrain et d'une maisonnette en pleine nature va en effet avoir des conséquences inattendues sur sa vie. L'enchaînement des petits et grands évènements qui vont se succéder tout au long de l'histoire et que l'on va découvrir grâce à un journal tenu par notre linguiste émérite, va nous emmener sur les chemins des hasards de la vie, des choix et des décisions que l'on prend et qui peuvent tout emporter. La beauté et la rudesse de la nature sont au centre du livre tout comme la langue et les mots grâce auxquels on peut accéder à autrui. Laissez-vous emporter à votre tour par cette histoire de destins entremêlés pleine de beauté, un "roman baume" qui laisse une trace profonde en soi. »

Laurence G. de la librairie Au Moulin des lettres à Épinal

« Dans une veine plus écologique encore, Olafsdóttir parvient, comme d'habitude, à nous enchanter avec ses subtiles histoires douces-amères dans lesquelles se côtoient la nature et la poésie. Plus actuel que jamais ! »

Corentin de la librairie Le Brouillon de Culture à Caen

Déjà connue pour son roman Rosa candida, écrit en 2007, Auður Ava Ólafsdóttir décide, cette fois-ci, de raconter l’histoire d’une linguiste, Alba, qui organise des conférences dans de nombreux pays.

Malgré cette passion, Alba se pose des questions sur son empreinte carbone, qu’elle trouve très mauvaise à cause des multiples voyages qu’elle effectue en avion. Cette dernière va donc acheter une maison, avec un immense terrain, et choisit de planter des arbres. Au fur et à mesure de l’histoire, la jeune linguiste va avoir la chance de faire des rencontres inattendues qui vont modifier la perception qu’elle a de sa vie. Ce roman, remplit d’humanité, emmène les lecteurs dans une histoire poétique et passionnante.
Marina Sauvage de librairie Le Quai des mots à Épinal

« Alba vit en Islande, elle est linguiste et professeure. Elle se déplace en avion pour de nombreux colloques avec des linguistes du monde entier et réalise que son bilan carbone n’est pas fameux. Elle s’amuse à calculer le nombre d’arbres qu’il lui faudrait planter pour compenser ce bilan. Sur un coup de tête, elle décide de racheter dans un petit village, une maison, avec un grand terrain pour y planter des arbres et en faire un jardin. C’est l’occasion pour elle de tourner la page d’une liaison avec un de ses étudiants. Elle fait connaissance avec les gens du village et prend sous son aile un jeune réfugié bien décidé à apprendre tous les mots de la langue islandaise. 
Auður Ava Ólafsdóttir nous offre une fois de plus une magnifique histoire tout en finesse et en pudeur. Un roman sur l’apprivoisement : celui des plantes, des mots et bien sûr des êtres. 
Vous tomberez sous le charme ! » Nathalie de la librairie L’Intranquille Plazza à Besançon

« Alba est une personne rare, elle est linguiste à l’université de Reykjavík en Islande et parle “la langue nationale la plus faiblement diffusée” des pays membres des Nations unies. Elle nous apprend que les Islandais ont le privilège de former leurs propres néologismes plutôt que d'adapter les mots des langues majoritaires, mais, se demande-t-elle, faut-il continuer d'enseigner “une langue où comprendre quelqu’un et divorcer s’expriment en recourant au même verbe – skilja” ? Alba se déplace énormément, ce qui l'amène à décider de se retirer du monde dans un terrain avec maison qu'elle acquiert pour planter des arbres – 5600 – dans la terre volcanique et sableuse de son île peu boisée, afin de compenser son empreinte carbone.

Auður Ava Ólafsdóttir aborde beaucoup de petits sujets semblant sans importance. Elle emménage dans une maison trop petite pour qu'elle y installe sa bibliothèque, une maison qui a été la propriété d'une autrice de romans policiers qu'elle connaît pour avoir été sa correctrice. Alors, elle dépose ses dictionnaires et ses grammaires islandaises, ses ouvrages pointus dans le magasin de la Croix Rouge, suscitant un intérêt inattendu chez les clients. Dans cette île lointaine menacée par le réchauffement climatique, la pollution de la mer, le tourisme, elle plante des bouleaux et d’autres arbres, imaginant ce que sera son domaine bien des années plus tard. Elle se fait aider par Danyel, un jeune réfugié qui veut apprendre l’islandais, qu’elle décide de protéger afin qu’il s’intègre et qui devient “Mon adolescent”.

Cette linguiste passionnée de langues fragiles, qui a avec les mots une relation forte réoriente sa vie, se découvre de nouveaux intérêts. Tout comme les islandais qui l’accostent pour lui parler de mots ou de la langue, une passion qu’elle ne soupçonnait pas d'exister, “Gerdur, employée à la banque, m’a fait part de ses inquiétudes à propos du déclin du subjonctif dans la langue parlée”.

Sans s’en rendre trop compte, on lit l’histoire d’une femme qui change brusquement de vie dans une Islande qu’elle considère comme un “Éden”, un paradis perdu qui se déglingue, qui pourrait elle-même se perdre, et qui s’installe, se découvre une autre vie possible, noue des relations, qui plante des arbres et des légumes dans son jardin, qui s’accorde à la nature, nous rappelant ainsi que rien n’est sans doute perdu. Cette histoire se déroule tout en douceur, comme si l’évolution était naturelle, comme s’il n’y avait d’autre horizon que l’espoir, “Tout ira bien”.

Auður Ava Ólafsdóttir nous enchante avec ce roman à l’écriture belle et inventive. Elle possède le talent de s’intéresser à des choses graves sans qu’il n’y paraisse, avec légèreté et finesse. Outre qu’elle nous signale que le monde est à protéger, son attention à la valeur des mots nous indique de ne pas oublier la poésie, d’en parler avec des mots choisis, pour éviter que disparaisse notre Éden. » Jean de la librairie Le Pain des Rêves à Saint-Brieuc

« Dans son dernier roman, Auður Ava Ólafsdóttir manie toujours les mots avec autant de grâce et de poésie.
Alba est une spécialiste des langues en voie d’extinction, elle voyage aux quatre coins du monde pour participer à des colloques sur ce sujet jusqu’à ce qu’elle s’interroge sur son empreinte carbone. Pour compenser tous ses trajets en avion, elle décide de planter des arbres encore et encore pour construire son propre jardin d’Eden.
C’est un véritable travail sur la langue et une belle réflexion écologique que nous offre ici la si talentueuse autrice de Rosa candida, avec cette infinie poésie dont elle a le secret. » Chloé de la librairie Coiffard à Nantes

« Merveilleuse auteure islandaise. Toujours surprenante et toujours en prise directe avec notre réalité. Ici, linguiste qui voyage beaucoup à travers le monde, elle a décidé de planter des arbres pour réduire son empreinte carbone. Changement de vie, changement de paradigme... elle joue avec les mots pour notre plus grand plaisir. » Marianne de la librairie Filigranes à Bruxelles

« Un roman comme en apesanteur porté par l’écriture douce et subtile d’Auður Ava Ólafsdóttir. Une belle parenthèse de lecture ! » Céline de la librairie Mots et images de Guingamp

« Une fois encore l’autrice nous emmène en Islande, dans ses paysages sauvages. Un beau texte écologique. Une vie de femme libre qui s'impose, de la solidarité et de l'humanité. On en redemande ! » Librairie Nouvelles pages – Carouge, Genève

« Alba est linguiste, elle étudie les langues en voie de disparition. Son métier l‘amène à voyager à travers le monde. Elle prend conscience que pour compenser son empreinte carbone elle devrait planter 5 600 arbres. C’est pourquoi elle achète une maison à la campagne, à l’abandon, entourée de verdure. Dans cette nature sauvage où le climat est rude, elle entreprend de créer son jardin d4Éden. Un voyage autour de la langue, la nature, la poésie et la beauté. un roman doux, une ode à la simplicité. » Librairie Le 5ème Art à Saint Jean de Luz

« Un enchantement. Sur un coup de tête, une linguiste achète un terrain isolé pour planter des arbres et compenser ainsi son empreinte carbone... Magnifique roman tout en finesse, légèreté et fantaisie. L'auteur excelle à dépeindre les relations humaines ! » Manon de la librairie le Point de côté à Suresnes

« Éden ou “la femme qui plantait des arbres” ! Quel régal de retrouver la plume unique de cette auteure islandaise, qui mêle humour et gravité pour nous questionner sur notre monde. Il est bien question ici d’enracinement, dans une langue et dans une terre, l’Islande étant le cœur secret et tendre de ce très beau texte. » Sophie de la librairie Le Bleuet à Banon

« Plein de charme et de délicatesse, un roman enchanteur qui magnifique le retour à la nature. » Librairie Maupetit à Marseille !

« Une déclaration d’amour à l’Islande, à l’islandais et aux islandais.
Alba, linguiste passionnée achète un terrain à la campagne près de Reykjavik pour “reboiser” le pays. Dès lors, son nouveau voisinage fera tout pour qu’elle s'installe définitivement... Ólafsdóttir est toujours aussi douée pour dépeindre les relations humaines et créer des personnages attachants qu’on aimerait pouvoir rencontrer en vrai ! Une déclaration d’amour à l’Islande, à l’islandais et aux islandais. » Cécile de la librairie Raconte-moi la terre à Bron

« Un régal ce roman, une histoire touchante pleine d’humanité, un livre solaire et enchanté pour commencer l’automne. » Christelle de la librairie Durance à Nantes

« Le retour de l’autrice de Rosa Candida !
La prise de conscience d’une linguiste voyageant aux quatre coins du monde d’avions en conférences : son mode de vie et sa carrière nécessiteraient de planter 5 600 arbres pour compenser son empreinte carbone. Elle décide alors d’acquérir un lopin de terre rocheuse et acide à offrir à la nature. C’est alors un retour aux sources et à la réalité d’une autre vie possible que nous offre l’autrice islandaise. Un bijou. » Librairie Les Oiseaux Livres à Saint Yrieix La Perche

« Reconstruire le paradis perdu.
Bonheur de retrouver la poésie épurée et la belle sensibilité d’Auður Ava Ólafsdóttir, et de suivre à petits pas le doux chemin d’une femme repensant son rapport au monde, aux mots, à la nature, aux autres et à la vie... Lumineux ! » Librairie Passages à Lyon

« Coup de coeur, comme d’habitude quand on lit Ava... » Maria de la librairie L’Autre Rive Cartoucherie à Toulouse

« Un beau voyage littéraire islandais.
C’est l’histoire d’une linguiste qui nous fait partager la beauté et la singularité de sa langue; son aménagement dans ces terres de laves si surprenantes, hostiles et indomptables; le changement de vie, son amour des arbres, la famille, la transmission...
Un joli roman qui fait du bien. Dépaysement garanti ! » Solène de la Nouvelle librairie Sétoise à Sète

« Un très beau livre d’une romancière à l’écriture envoutante et poétique. Alba est linguiste, spécialiste des langues bientôt disparues. Toujours entre deux avions, elle décide de racheter “cette faute” en plantant des arbres. Lorsqu’une petite maison abandonnée battue par les vents rencontre son chemin, sa vie va trouver peu à peu une nouvelle voie. Portrait d’une femme tenace, un très beau livre (encore une fois) d’une romancière à l’écriture envoutante et poétique. Un apaisement et ça fait du bien fou ! » Delphine de la librairie Grangier à Dijon

« Lorsqu’elle constate le lourd bilan carbone qu’entrainent ses colloques internationaux sur les langues menacées de disparition, Alba réalise qu’il lui faudrait planter plus de 5600 arbres pour compenser les émissions de CO2 de son année : une forêt dans son pays, l’Islande, qui a depuis longtemps été déboisé. En acquérant un terrain, la linguiste se lance dans le défi fou de créer son propre petit paradis.
Mais comment faire pousser une forêt sur une terre de lave sans cesse battue par les vents ? Que fuit donc Alba en se lançant corps et âme dans la création d’un Éden ? Et quelle place donner aux nouvelles rencontres qui parfois bouleversent la vie ?
D’un effleurement de plume, l’autrice fait profondément raisonner les questions de l’écologie, de l’altérité et de la réinvention de soi. Car Auður Ava Ólafsdóttir, c’est le soin porté au détail, la simplicité du beau et la délicatesse des relations humaines. Ce sont des passions aussi – l’amour d’Alba pour la langue islandaise cette fois-ci – qui dans chacun de ses romans nous donne à découvrir une nouvelle facette de son île chérie.
Éden est un régal de lecture tissé dans de la dentelle. » Margaux de la librairie Le Failler à Rennes

« Une fable moderne sur le changement, les décisions irrationnelles, l’espoir et l'amour… À lire sans hésiter, pour retrouver la bonne humeur ! » Matilde de la librairie Atout livre à Paris

« Accordez-vous une pause de douceur...
On retrouve dans ce roman tout ce qu'on aime chez Ólafsdóttir : l’Islande, ce pays gorgé d’une nature magnifique mais parfois si violente, les langues – en particulier l’islandais – et leurs mots bien à elles pour décrire le monde, et une femme, à l’aube de changements importants dans sa vie, ses réflexions, ses rencontres. 
Un livre reposant, méditatif : tout simplement une réussite à tous les égards ! » Alice de la Chouette librairie à Lille

« Parlez-nous de nature ! Une jeune femme linguiste décide de changer de vie et de planter des arbres dans un lieu isolé de l’île. 
Un hymne à la nature, à l’entraide, mais aussi à la langue islandaise. 
Un texte tout en douceur, simple qui fait réfléchir sur notre relation au monde. Beau et très poétique, ne passez pas à côté de ce roman. » Isabelle de la librairie L’Autre monde à Avallon

« Connue pour Rosa candida, Auður Ava Ólafsdóttir revient avec une héroine islandaise qui a fait le tour du monde pour un colloque universitaire. À son retour elle se dit « maintenant il faut que je compense mon bilan carbone, je vais planter », elle a calculé « 5600 arbres. » Elle va donc essayer, en Islande, là où ça ne pousse pas, de planter une forêt de bouleau. Ces 5600 arbres vont essayer de naître dans cet Éden qu’elle vient d’acheter. » Roman de la librairie Caractère à Mont de Marsan

« Alba est une linguiste renommée. Elle voyage partout dans le monde pour des colloques sur les langues en voie d’extinction. Alors qu’elle est harcelée par une éditrice qui insiste pour qu’elle lise un recueil de poésie, elle décide soudain d’acheter une maison délabrée et un terrain loin de la ville où elle a l’intention de planter autant d’arbres que possible afin de contrebalancer sa mauvaise empreinte carbone. pourquoi tout à coup quitter la ville, quitter son poste d’enseignante ? Qui est l’auteur du recueil qu’elle ne semble pas pressée de lire et est-ce que tout cela est lié ? Onr retrouve avec plaisir la plume d’Olafsdottir qui nous enchante souvent avec ses histoires simples et justes où l’Islande est un personnage à part entière, âtre et attirant. » Sophie de la librairie L’instant lire à Champigny-sur-Marne

« Plus engagé que ses précédents romans, mais toujours aussi empreint de douceur et de poésie, Éden célèbre l’attention que l’on peut porter aux mots, aux autres, au monde. Et l’air de rien, cela donne un très beau roman. » Christophe de la librairie L’Atelier à Paris

« Ce roman est un havre de paix au cœur de l’Islande. Avec une écriture empreinte de douceur mais aussi impactante, l’autrice interroge la portée de la langue et les conditions dans lesquelles évoluent notre chère Terre.
Une fois la lecture commencée, impossible de l’interrompre. Une véritable bouffée d’air frais ! » Delphine de la librairie Le Comptoir des mots à Paris

« Depuis Rosa Candida, Auður Ava Ólafsdóttir nous enchante à chaque nouveau roman. De son écriture d’une grande sobriété, précise et délicate, elle nous présente des personnages un peu décalés. Éden n’échappe pas à la règle et aborde les thèmes graves de notre époque avec fantaisie et humour. On se régale ! » Pascale de la librairie Les Plages à Rivedoux-Plage

« Ce roman nous invite à réfléchir à nos actes et nous incite à préserver une relation poétique au monde. Cela commence par bien le nommer et ensuite inventer des gestes pour le protéger. » Joëlle de la librairie La Mouette qui lisait à La Couarde-sur-Mer

« Éden, un nouvel opus d’Auður Ava Ólafsdóttir aux éditions Zulma.
Alba professeur de linguistique, décide de s’installer dans un coin perdu de l’Islande pour limiter ses voyages et de vivre une vie plus proche de la nature.
Une chouette personne pleine d’humanité qui va nous faire réfléchir sur l’Homme en général et sur les conséquences et les changements climatiques. Un roman ponctué de cours d’Islandais !
Un petit régal ! » Librairie Les Carnets d’Albert – Sallanches

Coup de cœur pour Benoît de la librairie L’infinie comédie à Bourg-la-Reine !

« Notre romancière islandaise préférée est de retour avec ce magnifique roman, qui nous parle de lutte contre la disparition des langues et des arbres mais aussi de ces moments de bascule qui nous font prendre des directions différentes et parfois salvatrices ! » Librairie L’Embellie – Paris

« Quand je lui ai posé l’an dernier une question sur la transmission dans ses romans, elle m’a répondu que si elle voulait transmettre, elle planterait un jardin, cultiverait des patates, s’occuperait des arbres. Puis elle écrit Éden et tout est là.
Une femme qui quitte la ville pour planter des bouleaux dans l’aridité des terres volcaniques et des vents puissants. Les humains sont toujours curieux dans ses livres, ils veulent se lier.
On se sent dans son univers comme à la maison, on retrouve l’Islande et la langue qu’elle décortique et nous donne en cadeau. J’ai fermé le livre avec l’intensité du désir de vivre, d’aimer. » Olivia de la librairie Un livre à soi – Montréal

« Avec ce texte empreint d'une poésie dont elle maîtrise les moindres apsects, Audur Ava Olafsdottir nous émerveille une nouvelle fois, pour notre plus grand bonheur ! Un roman d'une grande intelligence, sans artifices. Magnifique. » Librairie Delamain – Paris