« Alba vit en Islande, elle est linguiste et professeure. Elle se déplace en avion pour de nombreux colloques avec des linguistes du monde entier et réalise que son bilan carbone n’est pas fameux. Elle s’amuse à calculer le nombre d’arbres qu’il lui faudrait planter pour compenser ce bilan. Sur un coup de tête, elle décide de racheter dans un petit village, une maison, avec un grand terrain pour y planter des arbres et en faire un jardin. C’est l’occasion pour elle de tourner la page d’une liaison avec un de ses étudiants. Elle fait connaissance avec les gens du village et prend sous son aile un jeune réfugié bien décidé à apprendre tous les mots de la langue islandaise.
Auður Ava Ólafsdóttir nous offre une fois de plus une magnifique histoire tout en finesse et en pudeur. Un roman sur l’apprivoisement : celui des plantes, des mots et bien sûr des êtres.
Vous tomberez sous le charme ! » Nathalie de la librairie L’Intranquille Plazza à Besançon
« Une lecture déconcertante et jubilatoire !
Philip-Joseph est-il un génial inventeur ou un affabulateur ? Lorsque le récit s’ouvre, celui-ci vient de décéder tragiquement en tombant d’une terrasse de restaurant. Est-ce un suicide ? Un accident ? Ou pourquoi pas un meurtre ? Il ne laisse à ses héritiers (sa sœur et son beau-frère) que des carnets où il consignait les nombreuses fois où des membres du gouvernement auraient tenté de le faire taire en rapport avec son invention : la Freepow ou machine à énergie libre. Son beau-frère décide alors de mener l’enquête pour retrouver les traces de cette machine révolutionnaire et discerner le vrai du faux dans cette histoire de théorie du complot.
Marcus Malte est un prodige qui n’a de cesse de jouer avec son lecteur qu’il embarque dans cette invraisemblable histoire qui comme des poupées russes imbrique d'autres histoires en elle-même. Malgré ces presque 600 pages on a plaisir à entrer dans ce récit, tour à tour roman d'espionnage et d’aventure, romance, récit à la fois policier et essai sur la manipulation. Divisé en cinq chapitres et autant de narrateurs Qui se souviendra de Phily-Jo ? nous oblige à une certaine prise de conscience. Et une question demeure : qui manipule qui ? » Nathalie, librairie L’Intranquille – Besançon