« Soixante-neuf tiroirs : ou quand la lecture est un pouvoir magique.      
Si Shah Jahan a construit le Taj Mahal pour sa fiancée, ici, Anastase Branitza a écrit un livre où lui seul et son amour peuvent se retrouver en plongeant dans la lecture.    
Ce livre, c’est le vôtre, lecteurs et lectrices, alors plongez-vous aussi. Parce qu’on a tous un livre qui nous a marqué et qu’ici, l’auteur s’efforce d’en faire l’éloge grâce à un tour de force, un sort, quelque change d’intangible. On en ressort avec la sensation de quelque chose de changé. C’est profondément magique. » Thibault, librairie Écriture – Vaucresson