« Marcus Malte utilise la puissance de la narration romanesque pour nous faite croire successivement à la réalité des évènements, au mensonge, à l’existence d’un complot ourdi par une mystérieuse “Pieuvre Noire”, à une information manipulée, à la possibilité de l’existence de lanceurs d’alerte. Quand il a bien excité notre imagination, Marcus Malte dénonce la malfaisance du capitalisme, “la plus grande arme destruction massive que l’homme a créé”. Marcus Malte n’économise pas son humour corrosif, ni les données scientifiques, économiques et les références historiques et politiques. Le roman est long (566 pages, tout de même !) et complexe. Bien qu’écrit lors d’une résidence à l’Abbaye d’Ardenne (Normandie), ce roman très américain aurait été traduit de l’anglais !Addictif, finement écrit, richement documenté, tortueux, vertigineux, il pousse à penser à maintes situations contemporaines. Donc, un excellent roman qu’on ne lâchera pas – vous êtes prévenu – avant la dernière page… » Jean, Librairie Le Pain des rêves (Saint-Brieuc)