« Ignacio Matus est à côté de la plaque à la façon, c’est l’évidence même, d’un Don Quichotte ou d’un Ignatus Reilly. Son délire éveillé contamine ces cinq ados avec des idéaux qui ont perdu leur force. Cette contamination est rendue par l’écriture de David Toscana de façon irrésistible. Les situations les plus badines prennent, aussi bien pour Matus que pour ses disciples, des proportions épiques. »

Gilles Larvor