« Chaque page est recouverte de courtes phrases de parfois seulement quelques lignes qui rythment le roman à la manière d’une poésie. Le raconter ne suffit pas car les mots frappent le lecteur et le marquent comme autant de coups que ces femmes, que l’on dit de mauvaise vie, ont reçus lors du tremblement de terre. On ne les entend nullement se plaindre de leur condition et elles ne tentent aucunement de justifier leurs actes. Elles ne font que rappeler leur appartenance à notre monde. Un monde dans lequel leur vie a moins de valeur que celle des autres… » Librairie Mollat — Bordeaux