« C’est bizarre la vie, parfois. Il suffit un jour de ne pas se sentir à sa place – lors d’un dîner ennuyeux par exemple – pour avoir envie de prendre la tangente, d’aller le plus loin possible de tout.
Marc, la soixantaine désabusée et Anne, sa fille déséquilibrée vont fuir ensemble sans but, histoire de, en quête d’un dénouement dérangeant, d’un choc frontal avec la folie.
Avec ce road movie aussi drolatique que désespéré, Pascal Garnier réaffirme avec l’entrain carnassier qui est sa marque qu’il est un écrivain libre comme l’air, pour ne pas dire libertaire. Le fait que Le Grand Loin soit dédicacé à la mémoire de la chanson Samuel Hall du trop tôt disparu Alain Bashung n’est pas un hasard… Oooh, non. » Pascal Thuot, librairie Millepages — Vincennes
Marc, la soixantaine désabusée et Anne, sa fille déséquilibrée vont fuir ensemble sans but, histoire de, en quête d’un dénouement dérangeant, d’un choc frontal avec la folie.
Avec ce road movie aussi drolatique que désespéré, Pascal Garnier réaffirme avec l’entrain carnassier qui est sa marque qu’il est un écrivain libre comme l’air, pour ne pas dire libertaire. Le fait que Le Grand Loin soit dédicacé à la mémoire de la chanson Samuel Hall du trop tôt disparu Alain Bashung n’est pas un hasard… Oooh, non. » Pascal Thuot, librairie Millepages — Vincennes