« Lucia Antonia a quitté le petit cirque où elle était funambule suite au décès de sa “jumelle” lumineuse Arthénice… Au bord de la mer, à côté de palétuviers, elle réapprend à vivre et prépare un numéro. De courts textes, presque des poèmes, numérotés en chiffres romains, tendus comme un fil, déroulent le temps qui passe et se lisent à la manière de haïkus. Beaucoup de poésie entre ciel et mer. Un régal ! “Pourquoi n’avez vous pas d’éléphants, me demande Eugénie, comme tous les cirques ? Parce qu’ils ronflent, lui dis-je”. » Gilles Million