« Ces “huis clos” irrespirables, l’humiliation et la rage, la coexistence d’épisodes de brutalité et de sensualité, les zones floues de la fascination-répulsion pour celui qui est différent sont analysés avec une lucidité et une violence troublantes par une romancière aux aguets […]. On se sent étrangement proche d’elle et de ses trois histoires “écrites de l’intérieur”. L’écriture est intelligente, violente et précise. Un regard froid et objectif qui n’épargne personne, pas même les protagonistes quand ils sont les victimes. Les ficelles sont pourries… et pas seulement du côté des oppresseurs. » L’Usage du Monde – Strasbourg