« Fidèle à ses amours, Hubert Haddad nous emmène de nouveau au Japon, sur les chemins du haïkiste Santoka. Le jeune Shoichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu’il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santoka, le dernier grand haïkiste japonais. La marche, le recul et le désœuvrement érigés en mode de vie, l’auteur du Peintre d’éventail nous touche pas sa sensibilité et sa plume subtile. » Librairie Les mots et les choses — Boulogne-Billancourt