« Kei Miller nous balade avec art et virtuosité dans les replis d’un récit où le vrai et le faux s’entremêlent (comme partout). On est complètement emporté par les méandres, les bouillonnements, les remous de ces histoires-rivières dont les eaux se mélangent en un seul fleuve qui contient tout, contradictions, polyphonies, folie et vérité. De la première à la dernière page, on est conquis, et on peine à croire qu’il s’agisse d’un premier roman : Kei Miller, un grand écrivain. » Librairie Le Temps qu’il fait — Mellionnec