« Élevé par sa mère dans une petite ferme isolée de tout, sans avoir jamais eu de contacts avec la civilisation, le Garçon, comme le désigne le narrateur, ne parle pas. À la mort de celle qui fut son seul repère, il ne sait comment réagir. Elle lui avait seulement dit de brûler son corps quand le moment serait venu. Ce qu’il fait. Ne lui reste ensuite qu’à partir vers un monde dont il ne connaît rien, à la rencontre et à la découverte des hommes et d’un pays, la France. Nous sommes en 1908. Dans une langue vibrante et sculptée, Marcus Malte nous donne à lire un roman d’apprentissage prodigieux, mêlant à la fois la colère et l’indignation, l’innocence et la beauté.
J’ai adoré ! » Gaël, librairie Le Grenier — Dinan