« On est simplement emporté par le mélange de truculence et de gravité de cette confession. Une échappée et un bol d’air, en cette période de canicule, dans cette terre de contraste qu’est l’Islande. Coup de chapeau à la traductrice, Catherine Eyjólfsson qui arrive si bien à nous faire ressentir la variété des registres de langue : grivoiserie, poésie, émotion… Un régal. » Librairie Henri IV — Paris