« L’écriture d’Hubert Haddad est fortement métaphorique et on est séduit par la richesse de la palette du peintre qui décline ses nuances de lumières et de couleurs, attentif aux divers plans et perspectives, mais aussi par la variété des sonorités – murmures de l’eau ou chants des oiseaux, pierres qui roulent et bruissements des végétaux – sans compter la subtilité des odeurs et des parfums. Et l’auteur excelle toujours à décrire des femmes lumineuses avec sensualité et simplicité. Des descriptions qui vous emmènent très loin car leur beauté révèle l’invisible. » Librairie C’est la faute à Voltaire — Amboise