«  Marcus Malte est un funambule, il oscille entre tendresse et cruauté, entre espoir et affliction. Ses personnages sur le fil de la vie, nous touchent par leur poésie, leur humanité. Dans la douleur de l’absence d’une mère pour François le mystérieux ami et le narrateur de Le fils de l’étoile, dans le sacrifice pour Iris, Lys, Rose et Chardon ardent au printemps de leurs vies dans Des noms de fleurs, ou dans le monologue de l’enfermement solitaire pour Le père à Francis, tous les personnages nous parlent d’espoir et de beauté. Qu’il s’agisse de la beauté des souvenirs en regard de la cruauté d’un enfant, ses aspirations nobles contre des actes sadiques ; la beauté d’une cause utopique et des desseins destructeurs qu’elle induit ; la beauté d’un rêve de gosse face à sa propre fureur et la violence de sa situation. Marcus Malte nous parle bien de vie, de la vie dans toute sa fulgurance exacerbée, de la voie de l’existence qui bascule en une seule nuit. » Librairie Au Poivre d’Âne — La Ciotat