« Chaque lecture d’Ólafsdóttir est un dépaysement, un émerveillement. Bien que très ancré dans la culture islandaise, sa justesse rend ses personnages, leurs sentiments, universels. Encore plus dans ce livre où l’on parle de la naissance, et de la mort. Et de ce qui se passe entre ces deux moments. Toute une vie dans un livre ? Oui, accompagnés par celles et ceux qui la donnent, les “mères de lumière” en islandais, celles et ceux qui accompagnent aussi le dernier mouvement d’une existence. Dýja a été nourrie de ces deux héritages. Et entre les deux, le temps s’écoule, il y a de l’amour, la séparation, les rencontres, l’humain dans ce qu’il peut avoir de plus lumineux, de l’humour pour supporter les coups durs, la famille et son lot de contrariétés, de concessions à faire, ses secrets révélés. Chaque livre d’Ólafsdóttir est un voyage, celui-ci fut tendre, poétique et lumineux. » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume — Limoges