« Entre la beauté de l’apocalypse et l’imaginaire sans tabou, Appelez-moi Cassandre raconte la défense de l’Angola par les révolutionnaires cubains et l’apprentissage de la vie par les livres du jeune Rauli.
C’est l’effroi de la guerre. Le poids des fantômes sur l’âme des hommes. Le poids des fantômes sur les terres d’Angola.
C’est la violence qui se répand sur le corps des plus fragiles.
C’est l’amour des lettres, le salut par les mots, les mythes et les textes.
La langue de Marcial Gala est un souffle de sorcier, une rivière qui enfle en torrent. La digne cataracte d’un griot, d’un magicien. Sous l’égide des chants Homériques, Cassandre et ses visions qu’elle ne dit pas parce qu’on ne la croit pas, ce roman se déverse impétueux sur les rives surchauffées de l’initiation et de la guerre. Aussi impressionnant qu’une puissante crue, aussi magique qu’un conte. Aussi endiablé qu’une danse au bord d’un grand feu. » Fabien, Décitre Grenoble