Felwine Sarr
Romancier, philosophe, économiste mondialement reconnu, poète, musicien et maître karatéka, Felwine Sarr est un intellectuel sans cesse en mouvement. Auteur du best-seller Afrotopia, Art review le place au 3e rang des 100 personnes les plus influentes du monde de l’art. Il est aussi le co-éditeur du prix Goncourt Mbougar Sarr.
Les lieux qu’habitent mes rêves, son dernier roman, s’inscrit dans la passionnante entreprise de décolonisation des représentations et des savoirs que mène ce captivant penseur. Parution simultanée de Réparer et retisser les mondes, Ateliers de la pensée de Dakar (Ph. Rey).
Felwine Sarr chez Zulma
Bonus
« Très tôt, mes rêves ont habité des lieux étranges. Le silence du fond d’une grotte où la lumière du dehors se réverbère sur les parois rocheuses. Il m’arrivait enfant de fermer les yeux et de me retrouver dans cet antre. Une joie m’envahissait. C’était donc cela la paix. Un univers juste derrière les paupières qu’il suffisait de fermer pour y voyager. Séjourner dans ses prairies, marcher au bord de ses lacs. Se sentir léger, voler, se dissoudre. Un jour, je me rendis compte, émerveillé, que cet univers réapparaissait dans la solitude d’un livre, que grâce à ses pages je pouvais voyager les yeux ouverts, assis sur une chaise en rotin dans la véranda, devant la haie de citronnelle que ma mère avait dressée. »
Felwine Sarr, Les lieux qu’habitent mes rêves
« Les lieux qu’habitent mes rêves frappe par sa puissance spirituelle. »
L’Obs
« Une déambulation onirique et poétique sur l’amour, la mort, la transmission et l’apprentissage. »
Médiapart
« Les lieux qu’habitent mes rêves incarne avec force le fructueux dialogue des imaginaires porté par une belle histoire de rencontres. »
Le Point
« On avance dans ce roman comme dans un rêve éveillé, les yeux grand ouverts dans le noir, entraîné par le charme d’une écriture dont chaque phrase vient tracer son chemin en soi et laisse serein comme après une gracieuse initiation. »
Le Monde des livres
« Felwine Sarr compte sur la poésie et le roman pour ouvrir les portes du sens. »
Le Temps
