« Makenzy Orcel rend la littérature à ceux qui n’y ont pas droit, dans leur langue. Si ce livre est un tombeau pour une petite morte dans le tremblement de terre, il n’a rien de funèbre. Il décèle la vie, la grande vie, dans des chambres miteuses, sous les décombres de la misère totale de Port-au-Prince. »

Oriane Jeancourt Galignani, Transfuge