Chârulatâ scandalisera la bonne société bengalie à sa parution, au tout début du XXe siècle. On admire aujourd’hui, outre une lucide critique des mœurs, la très subtile tension érotique dans la peinture de personnages qui se cherchent avec autant d’innocence que de perversité, et, plus singulièrement, les rapports clandestins, rarement explorés, entre séduction et littérature.