« Sans crainte d’écorner les tabous, le jeune nouvelliste […] décrit, avec une précision cruelle, comment la police nigériane, qui tabasse comme on respire, rackette les automobilistes (sauf les riches) ou viole les prostituées, est composée de bon gros machos ordinaires, qui adorent leurs enfants et s’appuient, pour se supporter, sur l’amour de leurs gentilles épouses. »

Catherine Simon, Transfuge

« Ces nouvelles, écrites dans une langue efficace souvent savoureuse, reflètent l’existence de l’amour : conjugal, filial ou fraternel, il permet d’éviter la désespérance d’un pays en pleine déliquescence, dans un climat d’impuissance et de fatalisme. »

Notes Bibliographiques