« Avant de s’endormir, Mahnaz eut un pincement
au cœur : “Je me suis encore couverte de ridicule.”
Plus tard, Framaraz lui avait dit : “Quand je t’ai vue
allongée par terre, avec cet air si drôle,
j’ai pensé qu’il fallait que je t’aide,
pas seulement à ce moment-là mais toute la vie.” »

Le Goût âpre des kakis, Zoya Pirzâd