« Par la puissance de son écriture, ce roman va bien
au-delà de l’exercice de genre autour du respect
de l’identité sexuelle, il s’enfonce profondément
dans les Ténèbres au cœur de la notion
d’universalité du mal, générique, totalitaire
et offre comme rédemption, une autre puissance,
celle de l’imagination, de la littérature. »

Dominique Aussenac, Le Matricule des anges