« Il semble qu’il y ait, chez Marcial Gala, une sorte de volupté à faire tomber toute frontière géographique ou culturelle. Torrentiel il saute de Cuba aux États-Unis et à Barcelone, épousant les déplacements d’une diaspora de Noirs adeptes de sorcelleries multiples, capables d’être à la fois des criminels et de bons chrétiens. »

Gilles Costaz, Le Monde diplomatique