L’Ombre animale se situe à la limite des ténèbres et de l’aurore, du rêve et de l’éveil, de l’absence et de la vie. Livre-frontière, corps à corps avec les mots, réflexion sur la mort : L’Ombre animale est une expérience de lecture hors du commun, un diamant noir surgi d’un cœur incandescent.

« Dans un long souffle aux airs de chant vaudou, son récit porte les voix des siens, comme figées par la peur dans leur village aux airs faulknériens, mais aussi les voix de la grande ville, des nantis et des démunis, où une révolte contre le pouvoir gronde. » Gladys Marivat, Le Monde des Livres

« Makenzy Orcel emporte le lecteur dans une sorte de transe, dans une poésie aérienne et suffocante. » Mohammed Aissaoui, Le Figaro

« Oralité charnelle et références littéraires qui trahissent une curiosité universelle (Sôseki, Grisélidis Réal, Amos Oz), Makenzy Orcel, qu’il s’exprime par le vers ou la fiction, prouve avant tout qu’il est  poète et l’une des jeunes voix haïtiennes contemporaines les plus singulières. »
Sean J. Rose, Livres Hebdo

«  L’auteur écrit juste, sobre, avec la précision de celui qui ne s’éloigne pas de son terrain et porte le local aux dimensions de l’universel. » Alain Nicolas, L’Humanité