« L’écriture de Paul Wenz, a la densité d’un double regard posé sur un monde en train de naître, un univers composite où les vieux préjugés amenés d’Europe avec les lapins côtoient les échos mystérieux des légendes aborigènes… »

 

« Il parle de Java, de Pékin, des silences profonds dans les forêts de Nouvelle-Zélande ; et, dans l’île du Pacifique, de la tombe de Stevenson. Il parle de sa ferme aux pacages immenses où des eucalyptus géants se dressent, isolés, arbres abandonnés, en ruines dont l’intérieur pourri forme cheminée jusqu’au ciel (…). Il m’invite à l’aller retrouver là-bas. »

 
André Gide