T. M. Rives
Le Serpent des blés
T. M. Rives Le Serpent des blés

Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Lucien d’Azay




Coups de cœur des libraires

« Une belle fable sur la jeunesse, l’apprentissage et l’herpétologie ! Dans une ambiance feutrée qui sent les feuilles d’automne et le thé noir, un récit un brin cruel sur la passion et la confiance. Merveilleusement écrit, ce texte sifflera longtemps à vos oreilles... » Bulle de la librairie du Canal à Paris

« Lors d'une après- midi ensoleillée, au cœur des Etats-unis, une petite fille et sa mère font la rencontre d'un homme aussi étrange que fascinant, un herpétologiste - un spécialiste des serpents. Le livre nous raconte cette parenthèse, cette tranche de vie où chacun tente d'apprivoiser l'autre, de séduire, de posséder peut-être. Le serpent des blés fait partie de ces romans qui laissent après eux une impression de beauté et de fulgurance rare. Un très grand coup de cœur ! » Natacha, Librairie Mollat

« Unique roman de l‘auteur, Le serpent des blés nous entraîne dans ces paysages américains qui pourraient nous faire rêver. Mais dans cette nature sauvage, l'ennemi n'est pas forcément celui que l‘on croit. Sur les collines, Macey et sa mère rencontrent Mitchell, qui étudie les serpents. Il est beau, charmeur, incroyablement à l'aise. Sous le charme, la mère de Macey le laisse s'installer dans leur vie. Un court roman incandescent à dévorer. » Librairie La Madeleine — Lyon

« Une petite merveille... En moins de cent pages, voici un court roman qui va vous charmer et vous emporter loin de la grisaille ambiante. Vous n'êtes pas prêts d'oublier ce géant, charmeur de serpents et les deux personnages féminins qui gravitent autour de lui. On a souvent associé le nom de T.M. Rives à la prose de Carson McCullers et c'est bien compréhensible. On y retrouve une lumière et une déchirure si communes à ces deux auteurs. Courez acheter ce pur joyau… » Roselyne, librairie L’Armitière (Rouen)

« Un récit court et atypique : laissez-vous ”charmer” ! » Emma, librairie Tome 5 – Thionville

« C’est l’histoire d’une jeune femme qui vit seule avec sa fille. En quête d4 un amoureux, elle va rencontrer un scientifique new-yorkais, spécialiste des serpents. À travers cette tranche de vie, l’auteur replonge le lecteur au cœur de l’Amérique dans des paysages tout droit sortis des tableaux d’Edward Hopper. C’est écrit de manière ciselée, une écriture, sèche, terre à terre. Ce livre est un petit bijou à découvrir. » José Giornal, librairie La Mémoire du Monde, Avignon

« Court bijou d’une centaine de pages, ce Serpent des Blés est un plaisir cinématographique, ciselé dans la lumière des matins d’été. Dans un instantané sépia, irisé du jaune des blés, du bleu d’une camionnette ou du rouge vif d’un chapeau, se dessinent les contours d’un récit vif et mordant, à la manière de ces serpents qui se glissent entre nos jambes pour disparaître à tout jamais. » Librairie Port Maria

« Publié en 2005, cette nouvelle édition nous fait (re)découvrir ce roman solaire et intense explorant la rencontre et la naissance des sentiments amoureux dans la chaleur des paysages américains. » Librairie L’Usage du papier (Trouville-sur-mer)

« Un premier roman lumineux. Tendrement fantasque, légèrement décalé (un style un peu à la Carver) » Isabelle, Librairie Le Passeur de l’Isle (L'Isle-sur-la-Sorgue)

« Macey est une petite fille qui vit seule avec sa mère au fin fond de la Pennsylvanie. Un scientifique excentrique va débarquer dans leur vie pour étudier les serpents. Je ne pensais pas éprouver de l’intérêt un jour pour les serpents et pourtant ce joli roman nous donne envie d’en savoir plus ! Une plume avec beaucoup de charme qui mérite d’être lue. Tellement court que vous n'avez pas d'excuser pour ne pas le dévorer ! » Manon, Librairie Furet du Nord (Lille)

« Court et intense. D'une écriture précise et poétique, original dans sa construction. Fulgurant. Étonnant. Vite lu, on a envie de l'ouvrir à nouveau pour picorer des instants et savourer encore un peu. » Librairie L’Escale (Belgique)

« Coup de cœur pour ce court roman, tout en tableaux à la manière d’Edward Hopper, pour dire la rencontre amoureuse d’une femme, à hauteur d’enfant -sa fille-, bref un petit bijou ! » Corrine, Librairie Domaine des murmures (Champagnole) 

« Je viens de terminer ce court roman qui a eu l'effet d'une brise légère sur ma petite vie de lectrice.
Je ne compte pas le nombre de fois où je me suis surprise à sourire en ces pages. La narration se fait à travers Macey, petite fille vivant seule avec sa mère. Leur vie bien réglée va être bouleversée quand Mitchell, scientifique un poil excentrique pour ce petit coin de campagne des États-Unis, arrive dans la région pour ses recherches. La mère de Macey décide vite de le prendre entre ses filets mais cet homme charmant semble plus intéressé par les serpents et leur observation. À hauteur d'enfant, on analyse la naissance d'un couple, on ressent à quel point les adultes peuvent parfois avoir des comportements étranges et on apprend tout sur les particularités du serpent des blés qui gagne une place centrale dans toute cette histoire.
Un texte particulièrement intelligent et finement fantaisiste qui devrait naturellement trouver sa place auprès des grands classiques américains dans votre bibliothèque. » Aurélie, Librairie La Pléiade - Cagnes-sur-Mer

« Roman américain fulgurant et plein de doute. » Louisa, librairie Claudine (Belgique)

« Coiffée de son beau chapeau du dimanche en velours rouge, la mère de Macey que nous ne connaîtrons que sous ce nom, part en excursion à 8h du matin, direction les collines dorées de Feldon pour y faire un pique-nique. Celui-ci n’a rien d'improvisé, nappe à petits carreaux et un vrai festin composé avec soin et cuisiné la nuit précédente sont au menu. Macey a dû pour l’occasion chausser de nouvelles sandales et une robe qu’elle ne doit en aucun cas salir et surtout arborer un "guide régional des insectes de la forêt" en dépit de son peu d’attrait pour ce livre. Sur les conseils d’entremetteuse de son amie (?) Mrs Earl, à la chevelure sculpturale et à la couleur indécise, la mère de Macey se lance à la rencontre d’un inconnu dans les bras duquel Mrs Earl veut la jeter; un biologiste qui, selon elle, arpente les collines chaque matin en quête d'insectes ...
L’homme, Mitchell, est en fait un herpétologiste, un spécialiste des serpents. Il vient de New York, est aux antipodes des péquenots et des imbéciles que la mère de Macey croise et vomit. Elle succombe à son charme, Macey se passionne pour les serpents, des barbecues s'organisent entre "amis".
Mitchell bouscule les conventions de cette Amérique profonde et figée qui fait un peu froid dans le dos. Mais Mitchell tel le serpent des blés est-t-il fait pour demeurer dans un tel vivarium ?
T. M. Rives excelle dans l'art de poser des personnages, des ambiances, des images picturales et cinématographiques de cette Amérique qui ne cesse de nous fasciner et de nous interroger.
Il n’a écrit qu’un livre et quel livre ! Je ne saurai que vous conseiller le travail de photographe qu’il poursuit désormais. Merci une fois de plus aux éditions Zulma pour les belles découvertes offertes ! » Marie-Blanche, Librairie Athenaeum - Beaune

« Géant excentrique ou animal sauvage devenu le maître dans sa cage ? Par petites touches sinueuses, le lecteur est maintenu à la lisière de l’effroi. À travers le regard désincarné d’une petite fille, l’irruption d’un prédateur bienveillant donne à ce récit cinglant les allures d’une morsure de serpent. » Lucile, Le Forum des livres - Rennes

« Avec peu de moyens, plongeant au cœur des sensations et des non-dits, une histoire d’amour fulgurante et habitée d’une tension étrange…» Nicolas, Librairie Le Vent Délire (Capbreton)

« Le Serpent des blés se lit comme un conte : une ode à la liberté » La Librairie Imaginaire 

« Le Serpent des blés nous parle d’Amérique, du cœur mythique de l’Amérique, celle d’Edward Hopper ou Jim Harrison. Un texte très court, mais captivant et ensorcelant ! » Florence, Librairie Plume & Fabulettes – Ancenis

« C’est l’histoire d’une femme, sa fille et d’un herpétologiste... Un petit bijou, un petit moment de grâce à la Norman Rockwell, drôle et très imagé ! Un premier roman à la rencontre d’une Amérique profonde, celle de Faulkner ou Harrison. À découvrir absolument ! » Isabelle, Librairie L'Autre Monde – Avallon

« Cette réédition est la bienvenue puisqu’elle remet en lumière une œuvre splendide que nous ne connaissions pas.
Pour cadrer très brièvement l’histoire et surtout ne pas trop en dire, Le Serpent des blés est l’histoire d’une rencontre, celle que font la jeune Macey et sa maman célibataire lorsqu’elle tombe sur Mitchell lors d’un pique-nique dans les collines de Pennsylvanie. Herpétologue vif et plein d’esprit, gentiment fantasque, Mitchell s’installe dans leur vie… 
En un peu plus de 80 pages, T. M. RIVES tisse une histoire à facettes, pleine de tendresse, de sensations visuelles, de découvertes, de partages, mais où s’invitent aussi très délicatement des sentiments mêlés, plus complexes des relations humaines entre adultes.
Avec sa narration tout en virages, où le présent apparemment limpide éclaire ses zones d’ombres par des flashbacks qui s’invitent sans prévenir, où le paysage, brutalement, empli l’espace, le regard, marque de son immensité et de son rythme celui de l’écriture, où les liens que tissent les êtres humains déploient toutes leurs nuances, Le Serpent des blés nous marque de son empreinte dorée et chaude. De la chaleur pleine et mordante d’un soleil de midi, légèrement intrusive, celle qui s’immisce en nous pour darder ses rayons au dedans et faire son chemin longtemps encore après les dernières lueurs du jour.
Un grand et superbe texte de la littérature américaine contemporaine à lire absolument. » Andreas, Librairie Myriagone - Angers

« Lors d’un pique-nique sur les collines jaunes pâles chauffées par le soleil, Macey et sa mère font la rencontre d’un grand type étrange amateur de serpents. Un magnifique roman plein de grâce et de sensibilité où il est question d’enfance, de nature et d’amitié. » Librairie Calligrammes (La Rochelle)

« Un texte fulgurant et qui, en même temps, dès les premières pages, donne l'impression d’assisterà un moment suspendu, un moment de grâce dans la vie de Macey et de sa mère. » Amélie, Librairie la Grande Evasion -

« C’est un court roman intriguant, questionnant, empreint d’une certaine tension.
C’est une parenthèse enchantée dans la vie d’une mère et de sa fille. 
Un instant où l’on entend le bruissement provoqué par le vent dans les herbes hautes, où l’on a envie de boire un verre en soirée, de se laisser emporter sans rien attendre. » Librairie Quartier Libre - Bruxelles

« MAGNIFIQUE , réjouissant et apaisant … » Sophie, Librairie Bain d’encre

« Un premier roman et quel roman !!! Le style de T. M. Rives est unique et brillant ! Vous n’êtes pas prêts d’oublier les magnifiques personnages de ce roman, et surtout Mitchell, étonnant et hors-normes !!! Une vraie pépite !!! » Antony, Librairie Au Bonheur des Ogres (Lyon)

« Tout dans ce court roman pourrait faire penser à un texte beaucoup beaucoup plus ancien... où un serpent illustre - encore une fois - le désir de la femme prête à tout pour trouver un homme ! Mais il y a aussi dans ce roman l'Amérique rurale, ses paysages immenses, ses grands espaces qui s’opposent à l’esprit parfois étriqué de ses habitants. L’écriture évocatrice de T.M. Rives nous happe pour ne plus nous lâcher, il écrit comme s’il peignait ses paysages et ses personnages, et parvient à nous faire entrer d’une façon quasi hypnotique dans un tableau qu’Edward Hopper aurait pu peindre. Un véritable coup de maître ! » Fabienne - Le Bruit des Mots (La Flèche)

« Intrigant et fulgurant, Le serpent des blés continue de nous questionner et de nous suivre bien après la fin du roman... » Librairie de l’Oiseau Rare

« Un peu glaçant ce début d'été... Attention aux serpents dans les fourrés. » Librairie Les Yeux Gourmands - Bruxelles

« Nature dans ce roman semble plus prévisible que ne peut l’être notre nature humaine. Nous nous enroulons aisément autour des personnages serpentant dans leur présence et leurs absences. Court roman mais ô combien précieux dans la singularité des mots et des ambiances qu’il déploie, une lecture bien agréable....» Jérôme, Fnac de Nantes

Coup de cœur d’Alice à la Librairie Papyrus - Namur

« Enchantée par cette découverte ! » Valérie, Librairie L’Arbre à Mots - Rochefort

« J’ai tellement aimé Le Serpent des blés. Terriblement cinématographique ! » Fabienne, Librairie Gibier (Pithiviers)

Coup de cœur de Simone à la librairie Le Baobab !

« Géant excentrique ou animal sauvage devenu maître dans sa cage ? Par petites touches sinueuses, le lecteur est maintenu à la lisière de l’effroi. A travers le regard désincarné d’une petite fille, l’irruption d’un prédateur bienveillant donne à ce récit cinglant les allures d’une morsure de serpent. » Librairie Port Maria

« Parties pour un pique-nique sur les collines de Feldon, la jeune Macey et sa mère font la rencontre de Mitchell, un herpétologiste géant et charmeur, qui va doucement s’installer dans leur vie.
Court bijou d’une centaine de pages, ce Serpent des Blés est un plaisir cinématographique, ciselé dans la lumière des matins d’été. Dans un instantané sépia, irisé du jaune des blés, du bleu d’une camionnette ou du rouge vif d’un chapeau, se dessinent les contours d’un récit vif et mordant, à la manière de ces serpents qui se glissent entre nos jambes pour disparaître à tout jamais. » Brice, Librairie de l’Angle Rouge

« Il est de courts textes américains qui ont un je ne sais quoi de plus, d’unique, de magique. On ne sait pas pourquoi ni comment mais on est doucement happé, envoûté, entièrement sous le charme. On se laisse faire avec plaisir par cette prose impressioniste que l’on lit comme on contemple un tableau. Le Serpent des blés de T.M. Rives c’est ça, une parenthèse enchantée, une brève tranche de vie dont on savoure chaque mot, chaque phrase. On sourit, on espère, et on comprend qu’on vit un merveilleux et éphémère moment de poésie. » Cécile, Librairie des Pertuis (Saint-Pierre-d’Oléron)

« Coiffée de son beau chapeau du dimanche en velours rouge, la mère de Macey que nous ne connaîtrons que sous ce nom, part en excursion à 8h du matin, direction les collines dorées de Feldon pour y faire un pique-nique. Celui-ci n'a rien d’improvisé, nappe à petits carreaux et un vrai festin composé avec soin et cuisiné la nuit précédente sont au menu.
Macey a dû pour l’occasion chausser de nouvelles sandales et une robe qu’elle ne doit en aucun cas salir et surtout arborer un "guide régional des insectes de la forêt" en dépit de son peu d'attrait pour ce livre.
Sur les conseils d’entremetteuse de son amie (?) Mrs Earl, à la chevelure sculpturale et à la couleur indécise, la mère de Macey se lance à la rencontre d’un inconnu dans les bras duquel Mrs Earl veut la jeter; un biologiste qui, selon elle, arpente les collines chaque matin en quête d’insectes ...
L’homme, Mitchell, est en fait un herpétologiste, un spécialiste des serpents. Il vient de New York, est aux antipodes des péquenots et des imbéciles que la mère de Macey croise et vomit. Elle succombe à son charme, Macey se passionne pour les serpents, des barbecues s’organisent entre "amis".
Mitchell bouscule les conventions de cette Amérique profonde et figée qui fait un peu froid dans le dos.
Mais Mitchell tel le serpent des blés est-i-il fait pour demeurer dans un tel vivarium ?
T.M Rives excelle dans l'art de poser des personnages, des ambiances, des images picturales et cinématographiques de cette Amérique qui ne cesse de nous fasciner et de nous interroger.
Il n’a écrit qu'un livre et quel livre!
Je ne saurai que vous conseiller le travail de photographe qu'il poursuit désormais.
Merci une fois de plus aux éditions Zulma pour les belles découvertes offertes! » Marie-Blanche, Librairie Athenaeum

« Unique texte de l'auteur, publié en 2001 à Venise en 3 exemplaires, ce roman elliptique, énigmatique est un joyau traversé de fulgurances. » Sophie, À livre ouvert (Belgique)

« Macey et sa mère vont sur les collines de Fuldon, pour une première rencontre avec Mitchell autour d'un pique-nique. Il est un herpétologiste quelque peu original et décalé qui vient de New York pour étudier les serpents propres à la région. 
Un lien singulier se crée entre lui et Macey, du plaisir qu'éprouve Mitchell à partager avec elle sa passion. Il trouve chez cette petite fille calme les qualités requises à entrer dans ce vaste univers.
Peu à peu, Mitchell s'installe dans leur vie, mais pour combien de temps ? 
C'est un court roman singulier et intrigant où règne une atmosphère trouble, un peu inquiétante. Le roman s'ouvre à nous de mots comme des touches de couleurs, laissant libre cours aux sensations, aux questionnements, à la curiosité quant à ce qui va se passer. C'est là toute sa beauté. » Nathalie, Librairie Page 36 - Gisors

« Remarquable roman, par scènettes, ou tableaux à la Hopper... Quel plaisir de lecture ! » Corinne, Le domaine des murmures - Champagnole

« Un soleil de plomb, une femme, une fille, un homme mystérieux et un reptile. C'est à peu prêt tout et c'est grandement suffisant pour que ce court roman imprime sa marque avec force. On se souviendra longtemps de cette petite ville, de ces âmes complexes et de tout ce qu'elles disent d'un certain monde, en si peu de temps. Surprenante et subtile, l'écriture comme on l'aime !  » Julie, Librairie Livre aux trésors (Belgique)

« J’ai été conquise par Le serpent des blés, un petit dernier qui m’a enchantée ! » - Cécile, Librairie Murmure des mots (Brignais)

« Avec une précision photographique, l’auteur nous plonge dans la rencontre d’un biologiste échevelé avec la jeune Macey et sa mère au milieu des hautes herbes sur les collines de Feldon. Ce texte est d’une rare beauté, fulgurance lumineuse et délicate, 100 pages qu’on ne lâche pas et qu’on relit pour ne pas fermer le livre. Superbe ! » Sophie, Librairie Le Bleuet (Banon)

Coup de cœur de Sigrid à la librairie Mille Paresses !

« Effectivement, on a bien l’impression d’être dans l’Amérique des tableaux d’Edward Hopper, dans une petite ville au charme désuet où un personnage haut en couleurs fait son apparition. En peu de mots, ce texte surprend, comme une photo prise au bon moment ! » Thomas - Librairie Le Pavé du Canal

« Le serpent des blés : le seul (court) roman de T.M.Rives où la petite Macey nous raconte l’arrivée dans leur vie, à sa mère et elle, d’un homme spécialiste des serpents. Mais bien plus que ça. Une lecture dont on se souviendra. Pile. » Fabienne, Librairie L'oiseau Vigie

« Un roman plein de mystère. Les mouvements, les expressions donnent une ponctuation au récit. Superbe ! » Fabrice Baumann, Decitre Part-Dieu - Lyon

« C’est un bien curieux énergumène que Macey et sa mère débusquent lors de leur virée dans les collines de Feldon, Etats Unis. Spécialiste des serpents, notre homme est un charmeur né, pince sans rire et libre de toute attache. Les terres environnantes, écrasées de soleil, n'ont aucun secret pour lui. Un bijou d'écriture au scalpel. » Martine, Librairie Tonnet - Pau

« Je referme à l’instant ce court et magnifique livre qu’est Le Serpent des blés ! Je suis sous le charme de son apparente simplicité, de sa profondeur esquissée par petite touche fine et pudique, de son humour iconoclaste, de la chaleur et de l’humanité que dégagent chacun de ses personnages. A classer dans sa bibliothèque idéale aux côtés de “l’oiseau canadèche” ! » Renaud, Librairie Lucioles

« Subtil et efficace ! » Amanda Spiegel, Librairie Folies d'Encre

« Lecture obligatoire ! » Librairie Lucioles

« Ce court roman, comme une parenthèse enchantée, aussi merveilleuse que fulgurante, laisse un parfum doux amer dans l’air une fois refermé. » Pierre, Fnac Paris - Saint-Lazare

« Dans cet été brûlant des États Unis, la mère de la jeune Macey prend l’habitude d’emmener de plus en plus fréquemment sa petite fille pique-niquer dans les champs et les collines dorées de leur région. Pendant que sa Maman s’apprête plus que coutume, Macey étudie le grand Guide des Insectes, récent cadeau de sa mère. Lors de ces promenades caniculaires, se joint régulièrement à elles un grand homme féru de culture, es spécialiste en nature, insectes, un spécialiste en herpétologie. Kesako? Je vous laisse chercher... Un roman sur la passion, le mensonge, le désir, les aspirations sociales, l’ensorcellement... sur fond de grands espaces brûlants américains. Beau. » Librairie Nos Années Folles

« Petite perle. Avec une narration alerte aux couleurs, bruissements et aux petits détails de la vie et la nature, Le Serpent des blés est une histoire somme toute fort simple. Une histoire d’amour et sa fin. On songe ici à La route de Madison. » Fabrice, Fnac La Défense

« En trois mots : un texte magique. Un peu plus, quand même : à l'écriture précise, élusive, allusive, cinématographique, tout en nuances, en lumières changeantes (on devine le photographe derrière l'auteur), ce petit texte, qui nous tient constamment en haleine, tendus, dans le doute – que va-t-il se passer ? –, est aussi ensorcelant que le regard du serpent vers la souris qu'il va manger. Allez, laissez-vous dévorer ! L'expérience – vous le verrez – est unique. » Dilamar, Decitre Bellecour

« Petite merveille !! » Hugues Bodart, Librairie Filigranes

« Extraordinaire ce bouquin. Comme un interstice, un rayon de lumière sous la porte d’une maison de campagne. Doux, hypnotique, une onde hors du temps. A la manière, peut-être, d’une phrase glissée entre deux points-virgule. La minutie photographique de l’écriture, sa suavité et ses tremblements, fait de cette escapade d’une petite centaine de pages, une véritable minute de bonheur, un instant suspendu.Dans son écrin, un joyau. » - Fabien Bernier, Decitre Grenoble