Le Peintre d’éventail
Hubert Haddad Le Peintre d’éventail

Roman
Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre
Prix Louis-Guilloux – Prix France Ô




Coups de cœur des libraires

« Un petit bijou d’écriture dans lequel Hubert HADDAD convoque toute la grâce atemporelle du japon en un bel hommage à l’art nippon. Où l’esthétique du jardin s’élabore comme une peinture sur éventail ou un délicat haïku. » Librairie Folies d’Encre — Aulnay-sous-Bois
Coup de cœur de Véronique Mutrel de la librairie La Passerelle d’Antony
Coup de cœur de la librairie L’Armitière à Rouen
« Il porte le bandeau "Sublime Japon". Je comprends bien que l’éditeur ne puisse y porter un bandeau "sublime roman, sublime langue, sublime Hubert Haddad". C’est donc le libraire que le fera... Le roman est magnifique, apaisant. C’est très beau et très fort cette idée d’inachevé qui porte l’art et les êtres, qui en est peut-être l’essence même. Comme de vivre et de créer parmi les failles qui nous entourent, celles des individus comme celles de la Terre. En refermant ce matin l’éventail, alors que le jour se levait, je me suis dit qu’Hubert Haddad était un peu comme le souffle du vent qui soulevant les feuilles des arbres donne à entendre leur bruissement, à voir leur éclat, à distinguer leurs nuances : sa voix soulève les mots et la langue, en fait jaillir de page en page la beauté, les vibrations, le relief. Le plaisir de lecture est immense. On se rêve vraiment à lire "Le peintre d’éventail" au pied d’un arbre, sous l’ombre d’un feuillage ou lové entre deux branches. Bon, là c’est l’hiver et il fait très froid. Ensuite, le jour s’est levé : j’ai vu l’état lamentable de mon jardin, mais je l’ai regardé autrement... » Manuel, librairie La Buissonnière — Yvetot
« Majestueux» » Stanislas Rigot, librairie Lamartine — Paris
« Lorsque le style rencontre le récit avec une telle délicatesse, le lecteur ne peut qu’être pris dans l’ivresse poétique où Hubert Haddad l invite.
Sublime livre que voici! » Julien, librairie Fontaine - Auteuil — Paris
« Sublime: Hubert Haddad au sommet de son art nous offre tout en poésie la beauté ancestrale du Japon et la douleur de sa récente catastrophe. Les Haïkus ponctuent merveilleusement le roman et les deux livres se parlent et s’interpellent. Une brillante réussite. » Valérie Caffier, librairie Le Divan — Paris 
Coup de cœur d’Armelle Ringeval de la librairie La 25e Heure à Paris
Coup de cœur de Greta Meunier de la librairie Chantelivre à Paris
« Un Japon poétique servi par une langue splendide. Encore une fois, Hubert Haddad nous régale ! » Romain Vachoux, librairie du Tramway — Lyon 
« Ce récit poétique nous entraîne vers ce Japon si harmonieux et si violent à la fois. » Marie Nawrot, librairie 47° Nord — Mulhouse  
« Une vie retirée dans une pension loin du monde, où il est question de passion et d’humilité : de l’artiste face à la nature et de l’homme face à lui-même. L’écriture lumineuse de Hubert Haddad effleure le papier et trace un roman d’une infinie poésie. » Librairie Passages — Lyon 
« Suite à un évènement traumatisant, Matabei se retrouve dans une pension où il devient l’élève d’un maître de la peinture d’éventail. À la mort de celui-ci, il entreprend de poursuivre son œuvre et petit à petit, se fond avec la nature qu’il prend tant de plaisir à représenter. Un roman finement construit, poétique et introspectif où le lecteur ressentira l’impermanence de la nature, l’amour dans ce qu’il a de plus fragile et fugace, l’univers comme un flocon de neige. » Librairie Molière — Charleroi (Belgique)
Lu et conseillé par Simone Roche de la librairie Saint-Pierre de Senlis
Coup de cœur de la librairie Le Cyprès de Nevers
« Un roman empli de délicatesse et de poésie. Un splendide hymne à la nature. Aussi magique qu’un tableau d’Hokusai. » Sophie Bourhis, librairie Cheminant — Vannes
« Un délice ! » Louise Theobald, librairie L’Autre Rive — Nancy 
« C’est un roman fascinant, émouvant, hypnotique, tant par le style littéraire employé, qui est envoûtant, que par les références et les recherches sur le Japon. » Cécile Lambert, librairie Quantin — Lunéville
« Ce livre, ce livre est une perle, un bijou littéraire auquel la Littérature moderne doit ses lettres de noblesse. Hubert Haddad est un maître dans l’art du roman, un polymorphe de la culture qui, quand il s’attaque à un sujet le maîtrise jusqu’au bout. Ici notre orfèvre de l’écriture nous transporte au Japon, nous suivons les pérégrinations de Matabeï, ce dernier est parti se retirer dans la région d’Atôra plus exactement dans la pension de dame Hison. Là il découvrira un jardinier aux talents inouïs. Se liant d’amitié avec lui, il deviendra son élève, il y apprendra la contemplation, l’art d’écouter ce que le vent transporte, ce que la mousse chuchote. Dans cette pension hors de toute temporalité on y croise des personnages fantasques et attachants dans l’attente d’un grand bouleversement. La lecture de ce roman est un instant suspendu hors de tout, la poésie des mots nous traverse et vient faire vibrer des choses en nous. Les haïkus qui entrecoupent le récit sont magnifiques. Lisez ce livre ! » Librairie Multipresse — Spa (Belgique)
Coup de cœur de la librairie Coiffard de Nantes
« C’est magnifique ! » Renaud Junillon, librairie Lucioles — Vienne
« L’écriture d’Hubert Haddad est fortement métaphorique et on est séduit par la richesse de la palette du peintre qui décline ses nuances de lumières et de couleurs, attentif aux divers plans et perspectives, mais aussi par la variété des sonorités – murmures de l’eau ou chants des oiseaux, pierres qui roulent et bruissements des végétaux – sans compter la subtilité des odeurs et des parfums. Et l’auteur excelle toujours à décrire des femmes lumineuses avec sensualité et simplicité. Des descriptions qui vous emmènent très loin car leur beauté révèle l’invisible. » Librairie C’est la faute à Voltaire — Amboise
Coup de cœur de la librairie La Boite à livres de Tours
Lu et conseillé par Alain Monge de la librairie Sauramps Odyssée de Montpellier
« Ce livre est probablement un des plus beaux hommages que l’on puisse faire au Japon (...) Un incontournable de ce début d’année. » Librairie Mollat — Bordeaux 
« Dans une langue savoureuse, pleine de poésie, Hubert Haddad nous offre un roman d’une grande justesse. Entre un Japon fantasmé (les paysages apaisants, l’art du zen, la calligraphie...) et la réalité d’un pays qui n’aura pas été épargné par les catastrophes, Le peintre d’éventail mêle habilement tragédie et prose contemplative. Un des grands romans de ce début d’année » Gaël, librairie Le Grenier — Dinan 
« Le Japon est un univers culturel qui fascine et déroute. Il faut l’extrême sensibilité d’Hubert Haddad pour ciseler dans un court roman une fable mêlant la tradition éternelle et vitale avec la fragilité de l’équilibre sur lequel repose toute chose et tout individu. Le peintre d’éventail, qui entretient un jardin idéal, est aussi un sage attentif à la transmission de son savoir. Tel le peintre, Hubert Haddad pose ses personnages et leur décor, sans oublier les ombres. L’actualité et sa violence viendront saccager la sérénité et rompre le charme, pour construire autre chose, autrement...
Les textes d’Hubert Haddad sont des perles noires qui reflètent nos vies, nos souffrances et nos joies, sublimées par la force des mots et la magie des images. » Patrick Frêche, librairie du Rivage — Royan 
Le coup de cœur d’Isabelle Le Borgne.
Coup de cœur de Tatiana Tourjansky.
Un roman plein de grâce ! C’est au fin fond de la contrée d’Atôra, au nord-est de l’île de Honshu, que Matabei se retire pour échapper à la fureur du monde. Dans cet endroit perdu entre montagnes et Pacifique, se cache la paisible pension de Dame Hison dont Matabei apprend à connaître les habitués, tous personnages singuliers et fantasques. Attenant à l’auberge se déploie un jardin hors du temps. Insensiblement, Matabei s’attache au vieux jardinier et découvre en lui un extraordinaire peintre d’éventail. Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Après quelques pages de ce roman, je me surprends à chercher le nom de l’auteur ? Je ne me suis pas trompée, c’est bel et bien un roman de Hubert Haddad. Véritable caméléon, palestinien dans «Palestine», afghan dans «Opium Poppy», Hubert Haddad devient japonais dans «Le peintre d’éventail». L’immersion est totale. La description des lieux, des objets, des gestes est d’une précision exquise, à l’orientale ; le temps, fluide, s’écoule lentement, au rythme des saisons et des traits de pinceaux. À lire également, comme une oeuvre dans l’oeuvre, un jardin dans le jardin : "Les Haïkus du peintre d’éventail". Jennifer Le Morvan