Coups de cœur des libraires

« Naître, c’est sortir des ténèbres ventrales pour s’exposer à la lumière verticale du monde. Et dans le dernier livre d’Ólafsdóttir, c’est quatre générations de sages-femmes qui s’évertuent avec humanité à faire jaillir cet éclair qu’est la vie. L’une d’entre elles – la grand-tante Fífa – conçoit des textes portés par un puissant désir de création. C’est le second engendrement : utiliser le langage pour nommer et façonner le vivant. Dans ce septième roman, les mots de cette grande dame des lettres islandaises dansent sous nos yeux avec grâce, comme le ferait une aurore boréale dans l’immensité du ciel nordique. » Alexandra, librairie Gallimard – Montréal

« Les éléments à l’état brut semblent jaillir de l’écriture totalement immersive d’Auður Ava Ólafsdóttir qui dans ce roman hybride non dénué de cette forme de comique existentialiste qui la caractérise, magnifie la puissance de la nature tout en rappelant la fragilité de l’être humain. Un superbe hommage aux courageuses “mères de la lumière”, ces sage-femmes islandaises. » La Baignoire d’Archimède, Brive-la-Gaillarde

Dýja est issue d’une lignée de sage-femme. En mettant au monde son 1922ème bébé, elle s’interroge sur son héritage. Très tendre, avec une bouleversante réflexion sur la place de l’homme face à la nature. » Juliette, Librairie Un livre et une tasse de thé - Paris

« Dýja est sage-femme, comme de nombreuses femmes de sa famille. Elle accompagne les naissances. Celles des enfants qui viennent au monde et des parents qui naissent avec eux. Entre tradition et modernisme, on observe la transformation des sociétés, du métier, ainsi que de notre planète. Un très beau roman poétique. » Margaux, Fnac Libourne

« Savez-vous comment dit-on sage-femme en islandais ? Ljósmódir, “mère de la lumière” Auður Ava Ólafsdóttir nous conte les chroniques d’une lignée de sage-femme avec une tendresse poétique et de magnifiques réflexions philosophiques sur le monde, la vie, la lumière. » Kim, librairie Torcatis – Perpignan

« Dyjà est sage-femme comme presque toutes les femmes de sa famille. Elle est une "mère de la lumière" . Dyjà hérite de l’appartement de sa grande tante Fifa, un appartement désuet où règne encore l’âme et la personnalité de Fifa. Elle découvre petit à petit à travers ses écrits qui était Fifa, une femme visionnaire, humaniste, passionnée par l’écologie, l’enfance des hommes et des animaux. Ne cherchez pas l’histoire, il y a des histoires dans ce livre. L’histoire de ces sages-femmes islandaises qui affrontaient la nuit, le froid, au péril de leur vie, pour se rendre aux chevets d’autres femmes, et aider les enfants à atteindre la lumière. Et puis à travers le quotidien de Dijà, c’est l’histoire de l’Islande et de ses tempêtes, des jours si courts de l’hiver, de la solidarité nécessaire. C’est aussi notre histoire qui nous est racontée, celle du changement climatique, de ce vent qui porte trop loin les oiseaux migrateurs maintenant et qui les tue . Il y a de la magie dans le style si pur, dans les histoires de cette autrice islandaise, la nature et la poésie sont toujours si présentes, comme dans nos vies si on le veut bien. Chacun de ses romans est un enchantement. » Nora, Librairie le Livre Bleu - Versailles

« Nous avons lu et aimé ce parcours magnifique, combatif et inspirant d’une femme prête à tout pour aller au bout de ses idéaux dans une Islande des années 1960, conservatrice, rurale et sexiste. Ólafsdóttir confirme la cohérence et la puissance d’une œuvre qui se caractérise par une écriture d’une justesse et d’une poésie rares. » librairie Millepages - Vincennes

« C’est une belle réflexion sur la vie, de la naissance à la mort, que nous livre l’autrice. “Les ténèbres rendent le monde invisible.” Un beau roman, poétique et humain. » Frédérique, librairie Le Cadran solaire – Riom

« Dès que je termine un livre d’Auður Ava Ólafsdóttir, j’ai déjà la nostalgie du temps où je le lisais. Elle possède un véritable don pour créer une atmosphère dans laquelle elle nous enveloppe, un nid douillet que nous ne voulons plus quitter. À chaque ouvrage, elle se réinvente et c’est toujours aussi délicieux. L’ensemble de son œuvre est originale, intelligente et sensible. La vérité sur la lumière ne fait pas exception. Dans cette histoire, nous suivons Dýja, descendante d’une lignée de sages-femmes, dans son quotidien, mais aussi dans le récit intérieur de ses souvenirs avec sa tante décédée, Fífa, sage-femme et mentor de Dýja. Au cours du récit, Dýja découvre des manuscrits rédigés par sa tante Fífa, fruits de ses études, souvenirs et réflexions. La lumière demeure au premier plan de ce roman et ce, sous plusieurs formes, l’autrice y poursuit son observation de l’humain en toute finesse. La vérité sur la lumière, comme toutes les œuvres précédentes de l’autrice, est un roman riche, authentique et lumineux. » Marie-Chloé B., librairie La Liberté - Québec

« Quel bonheur de retrouver la merveilleuse plume d’Ólafsdóttir qui trace avec justesse le destin de Dýja, plus jeune représentante d’une lignée de sages-femmes. Un hommage fabuleux aux femmes et aux “mères de la lumière” islandaises. Une perle dans un écrin ! » Librairie Le Divan - Paris

« Ce septième roman d'Auður Ava Ólafsdóttir se déroule au cœur d’une nuit froide de l’hiver islandais. À quelques heures de Noël, alors qu'un ouragan s’annonce, Dýja va aider à donner la vie à son 1922e bébé. La narratrice est issue d’une lignée de "mères de lumière", traduction littérale de "sage-femme" en islandais.
Elle habite l’appartement d’une vieille tante, resté dans son jus, rempli de meubles et de cartons. Dans les cartons, Dýja découvre des manuscrits qui dévoilent le quotidien des femmes de sa famille exerçant le même métier qu’elle. Tant de confort pour elle, mais une aventure périlleuse pour toutes les sages-femmes qui l’ont précédée. En effet, parcourir des kilomètres dans la nuit et le froid n’était pas une mince affaire au début du XXe siècle.
On y découvre que la vie tient toujours à un fil, que l’homme est plus vulnérable que jamais avec ce qu’il ne comprend et ne maîtrise pas. Avec beaucoup de poésie, de tendresse et de fantaisie, Auður Ava Ólafsdóttir continue de célébrer ses ancêtres et les femmes qui ont construit l’Islande contemporaine. » Valérie O., librairie Masséna - Nice

« Révélée en France par Rosa Candida en 2010, Auður Ava Ólafsdóttir multiplie depuis les best-sellers. Ce devrait être encore une fois le cas avec La vérité sur la lumière qui suit le parcours d'une "mère de la lumière", l'expression islandaise pour "sage-femme", de mère en fille, confrontée à une tempête. À plusieurs en réalité. » Librairie Rive Gauche - Lyon

« Entre un blizzard charriant la menace d’un ouragan à quelques jours de Noël et des naissances qui auront lieu sans se soucier de l’humeur météorologique, Dýja parcourt les manuscrits désordonnés légués par sa grand-tante, qui fut sage-femme (littéralement "Mère de la lumière", en islandais) avant elle. Son testament métaphysique interroge la grâce de la venue au monde face à la précarité de l’existence humaine… Plus que jamais, Auður Ava Ólafsdóttir nimbe de poésie toutes choses, si infimes soient-elles, puisque face à l’incertitude seule demeure l’étincelle. » Typhaine, librairie du centre – Ferney-Voltaire

« On retrouve à nouveau avec bonheur l'auteure islandaise ! » Sophie-Anne Prado-Pétolat, E-Leclerc Valreas

« Dýja est issue d’une lignée de sages-femmes, sa tante lui a légué sa vocation. Ce sont les chroniques de Dýja en tant que sage-femme. Elle nous livre son quotidien et ses pensées intimes. Le récit mêle des réflexions philosophiques sur le monde ainsi que des anecdotes du métier.
Un très beau roman qui se lit lentement pour en profiter la poésie ! » Laure, librairie Garin - Chambéry

« L’autrice de Rosa Candida signe à nouveau un très joli roman humaniste en mettant en scène l’histoire de Dýja, sage-femme qui perpétue la tradition familiale de donner la vie. En replongeant dans les carnets de sa tante, elle y découvre tout un tas de réflexions passionnantes sur ce qui constitue l’essence même de notre existence. Toute une galerie de personnages va se greffer à cette histoire fantasque, touchante et lumineuse. » Julien L., Librairie Dialogues - Brest

« Pour votre plus grand bonheur, vous allez pouvoir vous blottir dans le creux de l’automne avec ce nouveau roman d’Ólafsdóttir ! Dýja, sage femme, s’apprête à mettre au monde son 1922ème bébé alors qu’une tempête de grande ampleur se prépare et qu’elle retrouve des vieux carnets de sa tante chez qui elle vit, elle-même ancienne sage femme. De déambulations philosophiques, en réflexion sur la lumière ou la vie, Ólafsdóttir nous permet d’appuyer sur pause et de nous laisser saisir par le moment présent. C’est doux et ça nous fait déambuler avec cette poésie propre aux contrées islandaises. » Anne Lise, librairie Lise & Moi - Vertou

« J’y ai retrouvé toute la poésie, la sensibilité liée sous doute à la lumière islandaise si particulière. Qui d’autre serait capable de parler de naissance, de vie, de mort, de tempêtes, de lumière avec autant de finesse ? Je cherche toujours...»

Claire, L’Hirondaine - Librairie coopérative — Firminy

« Chaque lecture d'Ólafsdóttir est un dépaysement, un émerveillement. Bien que très ancré dans la culture islandaise, sa justesse rend ses personnages, leurs sentiments, universels. Encore plus dans ce livre où l’on parle de la naissance, et de la mort. Et de ce qui se passe entre ces deux moments. Toute une vie dans un livre ? Oui, accompagnés par celles et ceux qui la donnent, les "mères de lumière" en islandais, celles et ceux qui accompagnent aussi le dernier mouvement d’une existence. Dýja a été nourrie de ces deux héritages. Et entre les deux, le temps s'écoule, il y a de l’amour, la séparation, les rencontres, l’humain dans ce qu'il peut avoir de plus lumineux, de l’humour pour supporter les coups durs, la famille et son lot de contrariétés, de concessions à faire, ses secrets révélés. Chaque livre d'Ólafsdóttir est un voyage, celui-ci fut tendre, poétique et lumineux. » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume — Limoges

« Entre blizzard et naissances, Dýja parcourt les manuscrits désordonnés légués par sa grand-tante qui fut sage-femme avant elle. Son testament métaphysique interroge la grâce de la venue au monde face à la précarité de l’existence humaine… Plus que jamais, Ólafsdóttir nimbe son œuvre d’une poésie en toute chose, là où seule demeure, face à l’incertitude, l’étincelle. » Librairie Payot Rive Gauche - Genève

« Tendre, poétique, lumineux.
Ce texte à la narration surprenante — parce que volontairement "décousue" — est un hommage à la nature, à l’homme quand il n’est encore qu'un tout tout petit, à la Vie, à sa fragilité. »
Virginie, librairie La Traversée — Verviers, Belgique

« Élu plus beau mot de la langue islandaise en 2013, "Ljósmóðir", sage-femme en Français, signifie "mère de lumière". En rendant hommage à ces femmes à travers l’histoire de Dýja et sa grand-tante Fifa, l’auteure islandaise nous fait part avec son habituelle poésie de ses préoccupations sur les monde, les Hommes et l’écologie. La vérité sur la lumière, du pur Ólafsdóttir. » Cécile et Laurélie, librairie Les 3 Souhaits — Morteau

« Si vous connaissez déjà Auður Ava Ólafsdóttir, allez-y les yeux fermés ! Si vous n’avez pas encore lu cette autrice, précipitez-vous ! Poésie, humanité et justesse sont au rendez-vous. Vous allez avoir envie de lire de la poésie ou des pages de vos auteurs préférés à votre entourage. Un vrai bonbon pour l’âme. » Lucille, Fnac - Bordeaux

« Un peu de poésie.
Dýja, issue d’une lignée de "mères de lumière", sages-femmes en Islande, va mettre au monde son 1922ème bébé. Avec des parents travaillant dans des pompes funèbres, elle évolue dans un monde où se côtoie la vie et la mort. Elle découvre en triant les affaires qu’elle a hérité de sa grand-tante, des écrits et témoignages d’autres sages-femmes, qui vont par la suite l’accompagner tout au long de sa carrière.
Ce roman, en apparence simple et sans rebondissements est une réflexion sur la vie et le monde, entre l’ombre et la lumière.
Un récit philosophique et poétique qui évoque avec justesse la vie sur terre. Une histoire lumineuse sur l’un des plus beaux métiers du monde. » Sarah M., librairie Fontaine Kléber - Paris

« Savez-vous quel est le mot préféré des Islandais ? Ljosmodir, sage-femme !
Avec Dýja, sage-femme islandaise, partez pour un voyage poétique au cœur des landes et des âmes islandaises ! », librairie Le Phare - Paris

« C'est à nouveau un texte splendide : une merveille ! » Emmanuelle George, librairie Gwalarn - Lannion

« Olafsdóttir décrit ces "mères de la lumière" qui questionnent et illuminent nos existences avec toute la finesse qui caractérise son écriture. Un moment de lecture hors du temps. » Librairie de Paris

« Étrange objet, obscur et merveilleux à la fois. Tout part du mot élu le plus beau par les islandais, celui de "sage-femme" : ljosmodir, mère de lumière. Voici d’autres mots, jetés pêle-mêle, pour dire un peu tous les champs de possibles que donne à saisir un peu ce livre. Ça tombe bien, Auður Ava Ólafsdóttir aime bien faire des listes dans La vérité sur la lumière
Bébé. Tempête. Étoile. Poussière. Mort-né. Naître. Mourir. Planète. Vie. Mort. Animal. Instinct. Aurore. Vulnérabilité. Fragilité. Coïncidences. Hasard. Oiseau. Ciel. Terre.
De lire, une alchimie propre à chacun se crée. Cet ouvrage a l'art de faire resurgir à notre conscience ce que nous ne sommes pas : le centre du monde. » Nathalie, Librairie Page 36 – Gisors

« Touchée au cœur par La vérité sur la lumière de Auður Ava Ólafsdóttir chez Zulma Éditions. Difficile de parler de ce livre si fort, et si beau. Lu deux fois pour en saisir toute l'essence.
"J’accueille l'enfant à la naissance, je le soulève de terre et le présente au monde. L’homme doit d'abord naître pour pouvoir mourir." Ainsi débute cette merveilleuse histoire.
"Mère de la lumière" ainsi sont appelées les sages-femmes en Islande. Mots de leur langue élus comme les plus beaux en 2013. Un roman qui nous transporte au cœur d’une génération de sages-femmes. Dýja, mère de la lumière aide à la mise au monde de son 1922e bébé. Elle habite l’appartement hérité de sa grand-tante Fifa et y fait la découverte de manuscrits, œuvre débutée auparavant par son arrière grand-mère.
Dýja se plonge dans ces récits, ces réflexions sur le vivant sur des savoirs ancestraux et tellement d’autres choses encore. "On dit que l’homme ne se remet jamais d’être né et que l’expérience la plus difficile est de venir au monde".
Un livre sensible, lumineux qui touche à l’essentiel de notre existence, empreint de beauté, de gravité, de sagesse et de poésie. Un éblouissement. »

Valérie Schopp, librairie L’Arbre à mots – Rochefort

« Les livres d’Auður Ava Ólafsdóttir ont tous en commun d’être radieux.
Il était naturel qu’elle nous offre un roman sur la lumière elle-même. Quel bijou !
Alors que les jours raccourcissent, laissez-vous envelopper dans ce récit quasi méditatif saupoudré d’humour qui parle de tout : de naissance, de transmission, de temps. »
Carole, librairie Nouvelle & Cie — Bois Colombes