« Il était temps. Il était temps pour Bjarni Gíslason depuis sa maison de retraite d’écrire à Helga pour lui clamer une dernière fois son amour, un amour qu’il a jugé impossible […] L’homme, d’une grande sérénité, est simple, poète, vrai, attentif à son environnement et sa confession âpre, sincère et lucide. Un monologue aussi éblouissant et émouvant que rugueux qu’on lit d’une traite. » Max Buvry, librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil