« Quels mots pour expliquer l’injustice et le choc du tremblement de terre de 2010, des pertes, des absents éternellement présents dans la mémoire collective ? Y en a-t-il plus pour évoquer les dérives “humanitaires” ? Peu, et James Noël sait les trouver, ce qui fait la grande beauté de ce premier roman… » Librairie Le Divan — Paris