« Le génocide rwandais fait partie des atrocités de la fin du XXe siècle. Comment un auteur étranger peut en parler sans se sentir inconvenant… Une victime lui répond : par l’art ! Et en effet, Boubacar Boris Diop signe un texte majeur ! Une construction parfaite qui tient en haleine le lecteur et le fait vasciller entre colère et émotion. Toni Morrison nous prévient : “ce roman est un miracle.” Il est davantage encore, il est INDISPENSABLE ! »