« Entre un blizzard charriant la menace d’un ouragan à quelques jours de Noël et des naissances qui auront lieu sans se soucier de l’humeur météorologique, Dýja parcourt les manuscrits désordonnés légués par sa grand-tante, qui fut sage-femme (littéralement “Mère de la lumière”, en islandais) avant elle. Son testament métaphysique interroge la grâce de la venue au monde face à la précarité de l’existence humaine… Plus que jamais, Auður Ava Ólafsdóttir nimbe de poésie toutes choses, si infimes soient-elles, puisque face à l’incertitude seule demeure l’étincelle. » Typhaine, librairie du centre – Ferney-Voltaire