« Hubert Haddad, depuis longtemps, écrit avec bonheur dans une langue poétique qui emporte en Inde, notamment, mais aussi vers un monde constitué de sons et d’odeurs où l’on se perd délicieusement, où l’on s’enivre aux côtés d’un certain Hochéa Meintzel, violoniste de son état. Probablement que Premières neiges sur Pondichéry s’échappe du registre romanesque habituel, la prose magique de l’auteur, érudite et bâtie sur la perception plus que sur la vision, s’enrichit sans cesse d’un vocabulaire voguant sur la sonorité de termes indiens et juifs qui composent cet exotisme, certes déroutant, mais d’un incomparable enchantement. » Librairie Générale — Arcachon