Miguel Hernández

Miguel Hernández

Miguel Hernández (1910-1942) publie ses premiers vers à l’âge de 19 ans dans des journaux tels que El Pueblo de Orihuela ou El día d’Alicante. En 1932, il travaille comme rédacteur pour le dictionnaire taurin Cossío à Madrid, où il entre en contact avec Pablo Neruda et Vicente Alexandre. De cette époque datent les poèmes centrés autour de la tauromachie et de la lutte entre l’amour et la mort. Pendant la guerre civile, il milite activement aux côtés des républicains et participe à la défense de Madrid, ce qui lui vaut d’être incarcéré et condamné à mort à la fin du conflit, alors qu’il tente de fuir au Portugal. Sa peine est commuée en 30 ans de prison, où il meurt de la tuberculose. De cette œuvre brève et intense, qui fait de lui l’un des plus grands poètes espagnols de son temps, dont l’essentiel a été traduit en français.

Bonus

« Apulée prouve qu’elle
est devenue une revue
incontournable du paysage
de la création contemporaine,
ouverte au monde
et aux langues, foisonnante,
politique, inventive. »

Elara Bertho, Diacritik

« Une revue
magnifique ! »

Marie-Hélène Fraïssé,
France Culture

« Dans cette revue, on joue avec les langues, dans tous les sens, avec des textes en regard pour pouvoir voir l’original. »

Yvan Amar, RFI   

« Il y a du beau monde à l’affiche de cette nouvelle revue annuelle “de littérature et de réflexion” […]. Des écrivains tournés vers la découverte, de l’autre ou du monde. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération