« En moins de cent pages, Gunnar Gunnarsson nous mène au bout du monde. Son récit inspira, dit-on, Le Vieil Homme et la mer, de Hemingway. Mais ici pas trace de lutte ni d’esprit de conquête. Chacun suit son chemin, blanc sur blanc, convaincu qu’il n’en existe pas d’autre, comme si la paix promise aux hommes de bonne volonté leur avait été enfin accordée. »

L’Express