« Si tu veux mon avis, ils disent tous les deux
des imbécillités. Moi, je dis toujours à Garnik,
qu’il a raison. Toi aussi, tu devrais dire à Artush :
“Bien sûr mon chéri, c’est toi qui as raison. (…)
Les hommes sont persuadés que s’ils ne parlent
pas politique, ils ne sont pas tout à fait
des hommes !” »

C’est moi qui éteins les lumières, Zoyâ Pirzâd