Hubert Haddad participera à la grande soirée autour de la publication de la revue Bleecker Street 3 – 4 consacrée aux 10 ans d’activités du Centre d’Art et de Littérature Hôtel Beury.
samedi 28 octobre 2006
cocktail à 20h30
http://perso.orange.fr/hotelbeury/hotelbeury_html/bleecker_street_revue.html
Le Centre d’Art et de Littérature et Bernard Dumerchez organise le 28 octobre 2006 une grande soirée autour de la publication de la revue Bleecker Street 3 – 4 (Ed.DUMERCHEZ – Directeur de la publication Hubert Haddad) consacrée aux 10 ans d’activités du Centre d’Art et de Littérature Hôtel Beury.
A cette occasion seront exposés des œuvres de : Gérard Titus-Carmel, Pierre Buraglio, Claude Vialat, Pierre Alechinsky, François-Xavier Fagniez, Daniel Dezeuze, André-Pierre Arnal, Jacques Clauzel, Serge Pey, Jean-Luc Parant…
Et des manuscrits de : Guy Goffette, Jean-Baptiste Para, Gérard Noiret, Yves Bonnefoy, Hubert Haddad…
L’Hôtel Beury (préface d’Hubert Haddad)
(….) À l’Hôtel Beury, c’est l’actuel qui se bouscule ou processionne, à savoir le péril des significations. Rien, jamais, n’est acquis dans les domaines instables de l’art. Et nul n’est quitte de son double de paroles ou de couleurs. Mais c’est avec une pertinence intuitive que Philippe Coquelet rapproche musiciens, artistes et poètes dans son aire d’exposition où l’on évolue par secrets détours. À l’Échelle, l’accueil devient création. On ne soupçonne pas les rencontres provoquées, les actions développées, les livres suscités. Au terme d’une décennie à transformations — laquelle aura vu l’Hôtel Beury s’épanouir dans ses murs, des salles palières au grenier, tandis que le jardin se peuplait de sculptures —, chacun aujourd’hui offre quelques pages de son aventure parallèle, en hommage à l’esprit d’évasion d’un tel lieu. Au-delà du catalogue déraisonnable, ce cahier témoigne pour la reconnaissance et engage au voyage. Par chance, il arrive que l’art soit un cercle dont le centre se situe dans un hameau ardennais et la circonférence à la fois nulle part — et partout. Si l’extraordinaire dynamisme de Bernadette et Philippe Coquelet pouvait se traduire en avenir, ces deux-là seraient vite éternels. Pour notre part, nous sommes tous heureux de les saluer par ce livre, en souvenir d’incomparables moments d’audace inventive.
