Pendant qu’il te regarde tu es la Vierge Marie
Gudrún Eva Mínervudóttir Pendant qu’il te regarde tu es la Vierge Marie

Nouvelles traduites de l’islandais par Catherine Eyjólfsson

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12,5 × 19 cm
160 pages
978-2-84304-446-5
17,80
Paru le 03/04/2008
Qu’il s’agisse de prendre un bain après un concert, de manger de la pâtée pour chats, d’adopter un ficus, de prendre Dieu pour amant ou d’ôter de la gorge d’un garçon la boule qui l’étrangle, le quotidien islandais de la narratrice ne manque pas de sel. Ni de piquant.
Voici des nouvelles courtes, souvent écrites à la première personne ; des histoires d’amour, de haine, de fantômes, de règlements de comptes avec les autres ou avec soi-même. L’humour, la candeur douce-amère qui se dégage de l’œuvre toute entière ainsi qu’une distance prise par rapport aux personnages laissent à penser qu’on peut tirer des leçons de ce qui nous est raconté, qu’il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre.
Le charme subtilement empoisonné d’une prose qui, sous des dehors de ne pas y toucher, sème une étrange confusion dans l’âme.
Gudrún Eva Mínervudóttir
Gudrún Eva Mínervudóttir est née en 1976 à Reykjavík, où elle vit et écrit aujourd’hui. Après avoir arpenté l’Islande, elle publie Pendant qu’il te regarde tu es la Vierge Marie qui reçoit un très bon accueil. Ce recueil de nouvelles est son premier livre traduit en français.
 
« Sa formidable lisibilité, Pendant qu’il te regarde tu es la Vierge Marie ne la doit qu’à son intelligence, à sa poésie – scrupuleuse et belle. »

Nils C. Ahl, Le Monde des livres


12,5 × 19 cm
160 pages
978-2-84304-446-5
17,80
Paru le 03/04/2008

Bonus

« Tout est délicieusement
inapproprié et
miraculeusement juste. »

Nils C. Ahl,
Le Monde des Livres

« Tout cela est murmuré, souvent saugrenu. D’une écriture minimaliste. Des petits faits vrais donnés pour tels et qui suggèrent d’étranges abîmes. »

Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur

« Gudrún Eva Mínervudóttir
nous invite dans un monde
poétique et cocasse
où Dieu et le chat
sont des personnages comme
les autres, où le quotidien est
à la limite du surnaturel. »

Libération

« Perception
du biscornu de la vie
et des sentiments
rendue par une écriture
magnifiquement ironique. »

La Liberté

« Un délice d’une beauté volatile, nébuleuse et d’une cohérence presque imperceptible, qui donne envie d’aller explorer l’Islande pour comprendre d’où provient cette inventivité étrange. »

Anne-Marie Genest, librairie Pantoute — Québec (Canada)

Gudrún Eva Mínervudóttir chez Zulma