Coups de cœur des libraires

« Une histoire lumineuse d'amour et d'amitié.

Femmes, vie, liberté. »

Librairie Les Mots voyageurs à Quimperlé

« Exploration intime de la notion de « Partir » à travers les vies de trois jeunes femmes iraniennes, Leyla, Shabaneh et Rodja, amies ultra soudées. Roman choral, où nous passons de point de vue en point de vue et qui nous dresse le portrait de la jeunesse iranienne contemporaine : doutes, espoirs, déceptions et réussites dans un pays où les perspectives d’avenir semblent compliquées. Voir s’en aller un être cher et en souffrir, rester « coincée » par obligation familiale, tout quitter pour faire ses études à l’étranger et vivre son rêve ? Superbe roman ! »

Camille de la Librairie Decitre à Grenoble

« Trois jeunes femmes vivant en Iran sont au carrefour de leur vie. 
Leyla suivra-t-elle son mari parti au Canada ? Shabaneh se mariera-t-elle avec Arsalan ? Rodjia partira-t-elle finir ses études à Toulouse ?
Chacune à leur tour, elles nous racontent leur vie durant un été et un automne. 
Texte écrit avec une clarté et sensibilité extrêmes. 
Un premier roman à découvrir ! » Marc de la librairie Espace Temps à Egly

« Un voyage sororal. Le temps de deux saisons (été et automne), nous suivons le quotidien de trois femmes iraniennes qui vivent à Téhéran. Elles s’appellent Leyla, Shabaneh et Roja. Elles se sont rencontrées sur les bancs de la fac. Aujourd’hui diplômées, elles travaillent et vivent dans des lieux qui laissent croire qu’elles sont libres. Mais lorsque nous ôtons le voile des apparences, nous comprenons qu’elles sont tiraillées entre tradition et modernité. 
Une position qui les entraîne dans une névrose que l’autrice nous dépeint avec une subtilité et une finesse telles, que nous nous attachons à ces jeunes femmes qui ne demandent qu’à vivre. Nous nous fondons un temps dans leur vie, leur intériorité, faite de désir et de frustration, de rires et de larmes. Puis vient le moment où il nous faut les quitter. À regret. Car les frontières sont finalement hermétiques. En attendant, il y a la littérature pour nous permettre de visiter un pan de la culture iranienne et la vie de ses femmes courageuses. Merci à Nasim Marashi et aux éditions Zulma pour ce voyage littéraire et sororal. » Laure de la librairie Dialogues – Brest

« Leyla, Shabaneh et Rodja se sont rencontrées sur les bancs de la fac. Leur amitié, solide, perdure alors qu’elles font toutes les trois leurs premiers pas dans la vie active. Leyla aspire à devenir journaliste, alors que son mariage avec Misagh prend fin : elle a refusé de le suivre au Canada. Shabaneh ne parvient pas à oublier les années de guerre. Dans le bureau d’architecte où elle travaille, elle rencontre Arsalan. Il lui plait autant qu’il lui fait peur. Quand il lui demande de l’épouser, elle ne sait quoi lui répondre, tiraillée entre son désir de liberté et l’apparente sécurité qu’il pourrait lui offrir. Et que deviendra son petit frère handicapé si elle n’est plus là pour le soustraire à la fureur maternelle ? Quant à Rodja, elle ne vit que pour son visa. Il est le précieux sésame qui lui permettra de quitter Téhéran pour la France : elle a été acceptée en doctorat à Toulouse. Elle met toute son énergie, toute son âme, dans ce projet. 
L’histoire pourrait se dérouler aujourd’hui ou il y a quelques années : le roman n’est pas daté et encore moins politisé, les drames qui se passent actuellement en Iran ne seront jamais évoqués. L’automne est la dernière saison a été écrit en résidence française, mais en langue persane : “Être écrivain, c’est se concentrer sur la langue, se demander si le mot est juste, s’il n’y a pas plus approprié… Mais en Iran, vous devez penser aux lignes rouges. Vous vous censurez. Cela vous détourne du véritable propos de la littérature”, a-t-elle confié dans une interview donnée au journal La Croix. Comme pour ses héroïnes, la liberté n’est qu’un mirage et elle met en lumière l’ambivalence de la société téhéranaise contemporaine, qui oscille entre conservatisme et progrès. Les personnages rêvent d’une vie plus libre, mais ne parviennent à abandonner les leurs. » Julie de la librairie La Cour des grands – Metz

« On y lit l'amitié entre trois femmes, rencontrées à l'université, qui traversent une période de doutes, chacun à sa façon. Quand l'une souhaite quitter l’Iran pour étudier en France, l’autre doute de ses capacités à oublier l'amour de sa vie qu’elle n'a pas souhaité suivre au Canada. La dernière, elle, est hantée par son enfance, sa responsabilité familiale, et n’ose s’engager dans un mariage pour se “ranger”. Toutes trois portent le poids du passé, des traditions, mais un souffle de liberté et de modernité vient les bouleverser. Un roman qui aborde un sujet universel : celui de trouver sa place. »
Fantine, Librairie La Lison – Lille

« Trois portraits de femmes, amies depuis l‘université. Chacune face à des choix, des problématiques et des rêves différents. Une ode à la liberté, à l'amitié, et à la vie, tout en sensibilité. » Salomé, Librairie du Tramway — Lyon

« Trois amies, nos amies, cherchent leur place dans l‘Iran d‘aujourd‘hui. Sans se résigner. Sans renoncer. En ces temps meurtriers, ce texte subtil résonne fort dans nos cœurs et dans nos consciences. » Librairie Passages — Lyon

« Le temps d’une saison, trois amies voient leurs espérances réduites à néant. Sommes-nous capables faire des choix quand tout s’écroule, de se sentir libre ? Alors qu’un mur s’érige autour d’elles, l’affection et l’empathie croissent en nous. Ce texte nous rappelle combien l’amitié peut être un pilier vital lorsque la vie est semée d’embûches. »

L’Astragale — Lyon

« La littérature iranienne regorge de pépites. Après un énorme coup de cœur pour C’est moi qui éteins les lumières (Zulma, 2011), de Zoyâ Pirzâd, le roman de l’écrivaine, scénariste et journaliste Nasim Marashi suit dans nos cœurs le même chemin. Le lecteur y rencontre à Téhéran Leyla, Shabaneh et Roja, trois amies à un moment clé de leur vie : l’une rêve de devenir journaliste ou libraire, l’autre hésite à quitter un petit frère handicapé pour épouser l’un de ses collègues, et la troisième attend son visa pour la France. Avec en arrière-plan le contexte historique et politique de l’Iran, L’automne est la dernière saison brosse trois portraits de femmes aux prises avec les questionnements universels de la liberté, du rapport au corps et aux hommes, de la possibilité du départ. Un récit éclairant et d’autant plus subtil si on lit entre ses lignes… » Librairie Le Domaine des Murmures — Champagnole 

« Roman iranien, nous faisons connaissance de trois jeunes femmes, amies depuis l'université. 
La construction du roman est intéressante, deux jours, deux mois, l'été puis l'automne et puis chacune raconte. 
Chacune d'entre elles doit faire des choix. 
Faut-il s'enfuir pour exister ? 
Faut-il s'enfuir et oublier le lourd héritage familial ? »

Pascale, Librairie Landru — Chamonix-Mont Blanc

« Nasim Marashi photographie la société iranienne au travers des trois portraits de ces jeunes femmes et leur entourage respectif figurant l’accomplissement de soi et les liens du cœur. » La Baignoire d’Archimède — Brive-la-Gaillarde

« Il y a la douce Leyla, dévastée par le départ de son mari qui a choisi d’émigrer au Canada.
Il y a la sérieuse Shabaneh, acculée par les responsabilités familiales et empêtrée dans une relation dont elle ne veut pas.
Et puis il y a l’intrépide Rodja qui attend le visa qui lui permettra de s’envoler vers ses rêves.
Au carrefour de leurs vies, les trois amies pourront compter sur le lien unique qui les unit pour affronter espoirs et désillusions. Nasim Marashi livre dans ce roman tendre un instantané du quotidien en Iran et une douce réflexion sur les choix laissés aux femmes.
Une véritable ode à l’amitié et à la liberté ! » Margaux, librairie Le Failler – Rennes

« Nasim Marashi nous conte la vie de 3 jeunes femmes iraniennes : leurs amours, leurs espoirs, leurs soifs de liberté. Des questions universelles dans une société au cœur de l'actualité ! » Bertrand, librairie Le Biglemoi – Lille

« Avec ce premier roman émouvant, l’Iranienne Nasim Marashi dresse le portrait de trois jeunes amies à l’heure des choix, dans une société tiraillée entre tradition et modernité, dont faire le choix de quitter l’Iran ou de rester.
Quand nous les rencontrons, Leyla est restée, alors que son mari est parti pour le Canada. Shabaneh n’envisage pas de partir. Rodja, elle, attend son visa pour continuer un doctorat à Toulouse.
Ce sont ces trois femmes, ces trois ”sortes de monstres” qui ne sont plus du même monde que leurs mères mais pas encore de celui de leurs filles qui nous racontent leur histoire, Nasim Marashi ayant choisi la voix de la polyphonie, merveilleuse manière d’ouvrir des fenêtres sur les non-dits, les secrets, et questionner l’amitié et ses aspérités.
Un récit sensible en deux saisons, un été et un automne, ponctué de fulgurances poétiques :

”Leyli ! Leyli ! M’avais-tu dit, je veux passer tout l’été sous l’automne de tes cheveux !” Tu avais ajouté : ”C’est pour moi que tes cheveux ont cette couleur, pour me rappeler l’automne au plein cœur de l’été.”

”Tu m’as dit de redescendre sur terre, de revenir dans la vraie vie. Je me suis figée sur place.
Mes pieds à moi étaient bien sur terre, ce sont les tiens qui s’apprêtaient à s’envoler à bord de ce maudit avion. Pour toi, c’était quelque chose, la vraie vie, mais ça n’avait rien à voir avec ma vie à moi.”

Amitié, amour, quête de liberté, un premier roman universel.
Une nouvelle pépite Zulma ! » Eline, librairie Cyprès — Nevers

« Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes, ce sont trois jeunes filles, amies depuis l’université. Alors qu’elles entrent dans l’âge adulte, elles font face à des choix cruciaux. 
Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes mais elles pourraient être de n’importe quel pays tant ce récit d’amitié est universel. Vous y reconnaitrez les amies italiennes d’Une amitié de Silvia Avallone, mais aussi les amies anglaises de Nos espérances d’Anna Hope. Elles traversent toutes les mêmes doutes et les mêmes espoirs, les mêmes illusions et les mêmes fulgurances.
Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes et cela a son importance tout de même. Paru en 2015, ce premier roman de Nasim Marashi prend une couleur particulière en ces temps plus que troublés pour les femmes iraniennes. Impossible de ne pas le refermer en se demandant ce qu’elles feraient en 2022, de ne pas penser aux milliers de Leyla, de Shabaneh et de Rodja qui ne sont pas libres à l’heure actuelle.
Vous l’avez compris, c’est un coup de de cœur et c'est édité par Zulma ! » Emma, librairie Tome 5 – Thionville