L’automne est la dernière saison
Nasim Marashi L’automne est la dernière saison

Premier roman
Traduit du persan (Iran) par Christophe Balaÿ

Nouveauté



Coups de cœur des libraires

« Le temps d’une saison, trois amies voient leurs espérances réduites à néant. Sommes-nous capables faire des choix quand tout s’écroule, de se sentir libre ? Alors qu’un mur s’érige autour d’elles, l’affection et l’empathie croissent en nous. Ce texte nous rappelle combien l’amitié peut être un pilier vital lorsque la vie est semée d’embûches. »

L’Astragale — Lyon

« La littérature iranienne regorge de pépites. Après un énorme coup de cœur pour C’est moi qui éteins les lumières (Zulma, 2011), de Zoyâ Pirzâd, le roman de l’écrivaine, scénariste et journaliste Nasim Marashi suit dans nos cœurs le même chemin. Le lecteur y rencontre à Téhéran Leyla, Shabaneh et Roja, trois amies à un moment clé de leur vie : l’une rêve de devenir journaliste ou libraire, l’autre hésite à quitter un petit frère handicapé pour épouser l’un de ses collègues, et la troisième attend son visa pour la France. Avec en arrière-plan le contexte historique et politique de l’Iran, L’automne est la dernière saison brosse trois portraits de femmes aux prises avec les questionnements universels de la liberté, du rapport au corps et aux hommes, de la possibilité du départ. Un récit éclairant et d’autant plus subtil si on lit entre ses lignes… » Librairie Le Domaine des Murmures — Champagnole 

« Roman iranien, nous faisons connaissance de trois jeunes femmes, amies depuis l'université. 
La construction du roman est intéressante, deux jours, deux mois, l'été puis l'automne et puis chacune raconte. 
Chacune d'entre elles doit faire des choix. 
Faut-il s'enfuir pour exister ? 
Faut-il s'enfuir et oublier le lourd héritage familial ? »

Pascale, Librairie Landru — Chamonix-Mont Blanc

« Nasim Marashi photographie la société iranienne au travers des trois portraits de ces jeunes femmes et leur entourage respectif figurant l’accomplissement de soi et les liens du cœur. » La Baignoire d’Archimède — Brive-la-Gaillarde

« Il y a la douce Leyla, dévastée par le départ de son mari qui a choisi d’émigrer au Canada.
Il y a la sérieuse Shabaneh, acculée par les responsabilités familiales et empêtrée dans une relation dont elle ne veut pas.
Et puis il y a l’intrépide Rodja qui attend le visa qui lui permettra de s’envoler vers ses rêves.
Au carrefour de leurs vies, les trois amies pourront compter sur le lien unique qui les unit pour affronter espoirs et désillusions. Nasim Marashi livre dans ce roman tendre un instantané du quotidien en Iran et une douce réflexion sur les choix laissés aux femmes.
Une véritable ode à l’amitié et à la liberté ! » Margaux, librairie Le Failler – Rennes

« Nasim Marashi nous conte la vie de 3 jeunes femmes iraniennes : leurs amours, leurs espoirs, leurs soifs de liberté. Des questions universelles dans une société au cœur de l'actualité ! » Bertrand, librairie Le Biglemoi – Lille

« Avec ce premier roman émouvant, l’Iranienne Nasim Marashi dresse le portrait de trois jeunes amies à l’heure des choix, dans une société tiraillée entre tradition et modernité, dont faire le choix de quitter l’Iran ou de rester.
Quand nous les rencontrons, Leyla est restée, alors que son mari est parti pour le Canada. Shabaneh n’envisage pas de partir. Rodja, elle, attend son visa pour continuer un doctorat à Toulouse.
Ce sont ces trois femmes, ces trois ”sortes de monstres” qui ne sont plus du même monde que leurs mères mais pas encore de celui de leurs filles qui nous racontent leur histoire, Nasim Marashi ayant choisi la voix de la polyphonie, merveilleuse manière d’ouvrir des fenêtres sur les non-dits, les secrets, et questionner l’amitié et ses aspérités.
Un récit sensible en deux saisons, un été et un automne, ponctué de fulgurances poétiques :

”Leyli ! Leyli ! M’avais-tu dit, je veux passer tout l’été sous l’automne de tes cheveux !” Tu avais ajouté : ”C’est pour moi que tes cheveux ont cette couleur, pour me rappeler l’automne au plein cœur de l’été.”

”Tu m’as dit de redescendre sur terre, de revenir dans la vraie vie. Je me suis figée sur place.
Mes pieds à moi étaient bien sur terre, ce sont les tiens qui s’apprêtaient à s’envoler à bord de ce maudit avion. Pour toi, c’était quelque chose, la vraie vie, mais ça n’avait rien à voir avec ma vie à moi.”

Amitié, amour, quête de liberté, un premier roman universel.
Une nouvelle pépite Zulma ! » Eline, librairie Cyprès — Nevers

« Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes, ce sont trois jeunes filles, amies depuis l’université. Alors qu’elles entrent dans l’âge adulte, elles font face à des choix cruciaux. 
Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes mais elles pourraient être de n’importe quel pays tant ce récit d’amitié est universel. Vous y reconnaitrez les amies italiennes d’Une amitié de Silvia Avallone, mais aussi les amies anglaises de Nos espérances d’Anna Hope. Elles traversent toutes les mêmes doutes et les mêmes espoirs, les mêmes illusions et les mêmes fulgurances.
Leyla, Shabaneh et Rodja sont iraniennes et cela a son importance tout de même. Paru en 2015, ce premier roman de Nasim Marashi prend une couleur particulière en ces temps plus que troublés pour les femmes iraniennes. Impossible de ne pas le refermer en se demandant ce qu’elles feraient en 2022, de ne pas penser aux milliers de Leyla, de Shabaneh et de Rodja qui ne sont pas libres à l’heure actuelle.
Vous l’avez compris, c’est un coup de de cœur et c'est édité par Zulma ! » Emma, librairie Tome 5 – Thionville