
11,5 x 17 cm • 224 pages
ISBN 978-2-84304-708-4
8,95 € • Paru le 06/11/14
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Littérature — collection de poche Z/a
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Littérature — collection de poche Z/a
Leo Perutz
Roman traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle
Tout commence dans la bonne société de Vienne, en 1909. Au cours d’un récital privé, on découvre le corps sans vie du célèbre acteur Eugen Bischoff. Les circonstances de sa mort sont pour le moins mystérieuses – suicide provoqué ou meurtre maquillé ? Les soupçons se portent bientôt sur le baron von Yosh, un homme froidement calculateur, étrangement rêveur et notoirement amoureux de Dina, l’épouse de Bischoff.
Mais l’enquête menée en secret par Solgrub, membre lui aussi du petit cercle, bascule soudain dans l’irrationnel le plus complet.
« Goûtons en Perutz la version drôle, simple, entraînante, bon enfant et savoureuse, de l’angoisse moderne. Cet auteur nous prend par la main et nous conduit où il veut, sans nous laisser le temps de réfléchir, par la force de son talent. Après coup, seulement, on découvre, qui enveloppe tout le récit, l’ombre menaçante du Sphinx. » Dominique Fernandez, le Nouvel Observateur
Le Maître du Jugement dernier
Roman traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle
Tout commence dans la bonne société de Vienne, en 1909. Au cours d’un récital privé, on découvre le corps sans vie du célèbre acteur Eugen Bischoff. Les circonstances de sa mort sont pour le moins mystérieuses – suicide provoqué ou meurtre maquillé ? Les soupçons se portent bientôt sur le baron von Yosh, un homme froidement calculateur, étrangement rêveur et notoirement amoureux de Dina, l’épouse de Bischoff.
Mais l’enquête menée en secret par Solgrub, membre lui aussi du petit cercle, bascule soudain dans l’irrationnel le plus complet.
« Goûtons en Perutz la version drôle, simple, entraînante, bon enfant et savoureuse, de l’angoisse moderne. Cet auteur nous prend par la main et nous conduit où il veut, sans nous laisser le temps de réfléchir, par la force de son talent. Après coup, seulement, on découvre, qui enveloppe tout le récit, l’ombre menaçante du Sphinx. » Dominique Fernandez, le Nouvel Observateur