
ISBN 978-2-84304-422-9
19,80 € • Paru le 23/08/07
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Littérature
On s’y fera
Roman traduit du persan (Iran) par Christophe Balaÿ
Astrid Éliard, Le Figaro littéraire
Romancière, traductrice, Zoyâ Pirzâd, née à Abadan d’un père iranien d’origine russe et d’une mère arménienne, fait partie de ces auteurs iraniens majeurs qui ouvrent sur le monde l’écriture persane sans rien céder de leur singularité. Découverte par Zulma en 2007, elle a reçu en 2009, pour le Goût âpre des kakis, le Prix Courrier International du meilleur livre étranger. C’est moi qui éteins les lumières, immense succès en Iran, fut salué par de nombreux prix.
« On s’y fera est une histoire d’amour construite avec brio. » Dominique Le Guilledoux, Le Monde des livres
« On s’y fera n’est rien d’autre que l’apparition impromptue de la douceur et de l’amour quand on n’y croyait plus. » Astrid Éliard, Le Figaro Littéraire
« Dans On s’y fera, Zoyâ Pirzâd se montre sarcastique et enjouée aussi. » Le Monde Diplomatique
« Ce sont toutes les contradictions, sociales et politiques, que la romancière met en scène dans un récit où l’on découvre, de l’intérieur, la vie quotidienne à Téhéran, la ville voilée. Là où les Emma Bovary modernes n’ont pas fini d’en découdre, sous la chape des tabous. » André Clavel, Lire
« Ce portrait attachant d’une femme moderne en plein cœur de Téhéran est habité d’une douce rage, celle que l’on ne voilà pas. » François Reynaud, Page
« De son écriture fluide et précise Zoyâ Pirzâd nous entraîne dans le sillage d’une femme indépendante, à travers laquelle nous découvrons tout un pan de la société iranienne actuelle, tiraillée entre la force de ses traditions et son inévitable entrée dans la modernité. » Sophie Bitman, La Vie
« Et reste l’art de Zoyâ Pirzâd, son art modeste, comme la cuisine ou le jardinage, fait d’une élégante simplicité, d’une attention méticuleuse et jamais démonstrative au minuscule et au volatil, pour brosser un attachant et complexe portrait de femme. » Livres Hebdo