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Livres numériques
La Part des chiens
Roman
Prix Polar dans la ville
Zodiak a remué ciel et terre. 927 jours que Sonia a disparu. 927 jours qu’il la recherche. Zodiak, oracle mutique d’un cirque ambulant, a les constellations tatouées sur le corps, et un trou à la place du cœur depuis que sa funambule est partie. Le voilà débarqué dans une ville-cauchemar flanqué de Roman, son butor, à écumer les bars et les bouges désaffectés. À côtoyer les marginaux des bas-fonds, tandis que les chiens de garde veillent depuis les hauteurs sur les jeux macabres des nantis salement retranchés dans leurs villas…
Road-trip aux portes de l’enfer, La Part des chiens est un roman noir à couper le souffle. Une traversée des ténèbres en quête d’absolu.
« Marcus Malte a l’art de vous faire passer, l’espace d’un mot, de la fange au plus haut du ciel. » Télérama
« D’une rare noirceur, d’une violence radicale, ce roman funambule en forme de pari hautement casse-gueule tient par la grâce de son écriture, sa puissance romanesque et un véritable talent poétique. » Michel Abescat, Télérama
« Un conte drolatique, dont la concision et l’efficacité ne sont pas sans rappeler Effroyables jardins de Michel Quint. » Livres Hebdo
« Toute la force provient de l’écriture de Marcus Malte, alternant fougue poétique et cruauté. » Michel Mathe, Intramuros Hebdo
« J’ai souvent l’habitude de dire qu’en réalité je n’écris que des romans d’amour. Même quand j’écris des romans dits “noirs”, je pense que ce sont avant tout des romans d’amour. Mais qui dit amour, dit aussi manque d’amour, amour non partagé, ou amour qui finit mal. L’amour et les relations profondes entre les êtres humains, c’est ce qui m’intéresse le plus : ce qui se passe dans le cœur et dans l’esprit des gens est la matière première de tous les livres que j’écris. » Marcus Malte, entretien avec Marie Richeux dans Par les temps qui courent, à écouter ici.
« D’une rare noirceur, d'une violence radicale, ce roman funambule en forme de pari hautement casse-gueule tient par la grâce de son écriture, sa puissance romanesque et un véritable talent poétique. Marcus Malte, comme dans Carnage, constellation, un de ses précédents romans, a l’art de vous faire passer, l’espace d’un mot, de la fange au plus haut du ciel. Belle manière de refuser, à l’instar de son héros, de se contenter de la part des chiens. »