128 pages
9-782-84304-475-5
16,30€
Paru le 12/03/2009
D’abord il y a Yolande, tondue à la Libération. Qui depuis ne sort plus. Regarde juste à travers le trou de la serrure. Et puis il y a Bernard, le frère, ancien de la SNCF. Qui a sacrifié sa vie pour Yolande. Qui se débat entre sa sœur et les pinces du cancer.
Après Comment va la douleur ? ou La Théorie du panda (Prix du polar 2008 de Montigny-lès-Cormeilles), Pascal Garnier confirme son art du suspense et du scénario, comme sa virtuosité diabolique dans le flegme qu’il tient du roman noir. On ne s’étonnera pas qu’il ait reçu le Grand Prix de l’Humour noir pour Flux en 2006.
Figure marquante de la littérature française contemporaine, Pascal Garnier (1949-2010) avait élu domicile dans un petit village en Ardèche pour se consacrer à l’écriture et à la peinture. Merveilleux romancier d’atmosphère, il excelle dans l’art du détail juste, du portrait en taille-douce et du dialogue plus vrai que nature – avec un humour ravageur. Pascal Garnier a reçu le Prix de l’Humour noir pour Flux, et le Grand Prix de la SGDL pour Chambre 12. Zulma a publié treize de ses romans, dont Comment va la douleur ?, la Théorie du panda ou Lune captive dans un œil mort, traduits dans une dizaine de langues.
12,5 × 19 cm
128 pages
9-782-84304-475-5
16,30€
Paru le 12/03/2009
Bonus
« Scènes terribles, splendides ! »
André Rollin,
Le Canard enchaîné
« Rien qu’avec de pauvres mots,
de pauvres vies, cet écrivain-là irradie
la littérature française de sincérité
et de générosité. Chapeau bas. »
Martine Laval, Télérama
« Un petit polar sacrément déjanté, dans la droite ligne des livres de qualité
que produit Pascal Garnier.
Noir et excellent,
comme il sait le faire. »
Christophe Dupuis,
Librairie Entre deux noirs
« Une griffe novatrice
dans le paysage du noir »
L’Humanité
« La plume de Pascal Garnier parle comme ses personnages, c’est cru, sans détour mais bon dieu que ça fait du bien. »
Luca Ruffini Ronzani,
librairie Multipresse – Spa
« L’A26 est peut-être le plus beau roman de Pascal Garnier, écrit comme il se lit, dans un souffle. »
Michel Abescat, Le Monde
