Littératures indiennes
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Bibhouti Bhoushan Banerji
De la forêt
Antonythasan Jesuthasan
Friday et Friday

Rabindranath Tagore
Kabuliwallah et autres histoires
Ambai
De haute lutte
R. K. Narayan
Dans la chambre obscure
Rabindranath Tagore
Kumudini
R. K. Narayan
Le Magicien de la finance
Anjana Appachana
L’Année des secrets
Vaikom Muhammad Basheer
Le Talisman
Drôlerie sagace, brio enchanteur, fantaisie et liberté rayonnantes font de ce Talisman un bonheur de lecture douze fois renouvelé.

R. K. Narayan
Le Guide et la Danseuse
« Une satire grinçante qui dénonce l’imposture d’un prophète et la crédulité de ses adeptes. » Lire
Rabindranath Tagore
Quatre chapitres

Vaikom Muhammad Basheer
Grand-père avait un éléphant

Anjana Appachana
Mes seuls dieux
Vâtsyâyana & Kalyanamalla
Les Kâma-sûtra suivis de l’Anangaranga
Rabindranath Tagore
Chârulatâ

Vaikom Muhammad Basheer
Les Murs et autres histoires (d’amour)
C’est ainsi que Basheer ponctue ses histoires, petits contes philosophiques murmurés à l’oreille du lecteur. Toujours bienveillant même quand il lève sur l’absurdité du monde un sourcil ironique, Basheer le sage charme la réalité comme d’autres font danser les serpents.
Vaikom Muhammad Basheer
La Lettre d’amour
Anjana Appachana
Le fantôme de la barsati

De la forêt
Roman traduit du bengali (Inde) par France Bhattacharya
De la forêt est un récit visionnaire, d’une bouleversante actualité : à la manière d’un Henry David Thoreau, Banerji nous offre le premier grand roman de l’écologie contemporaine.
Friday et Friday
Nouvelles traduites du tamoul (Sri Lanka) par Faustine Imbert-Vier, Élisabeth Sethupathy, et Farhaan Wahab
De Paris à Sri Lanka, les récits de ce très beau recueil de nouvelles ont pour toile de fond l’enfance d’Antonythasan Jesuthasan, ses années de guérilla, son errance et sa vie en France.

Kabuliwallah et autres histoires
Nouvelles traduites du bengali (Inde) et présentées par Bee Formentelli
Rabindranath Tagore nous raconte en magicien, avec un style inégalable, et l’intelligence suprême du cœur, ces insondables gouffres vécus dans la chair et dans l’esprit.

De haute lutte
Nouvelles traduites du tamoul (Inde) par Dominique Vitalyos & Krishna Nagarathinam
Avec De haute lutte, et à travers les trois autres longues nouvelles qui composent le recueil, Ambai explore avec un regard singulier et une étonnante liberté de ton, demi-teintes soudain balayées par un trait percutant, toute la complexité du statut des femmes dans l’Inde d’aujourd’hui.
Dans la chambre obscure
Roman traduit de l’anglais (Inde) par Anne-Cécile Padoux
Le sublime portrait d'une femme qui se révolte.
Kumudini
Roman traduit du bengali (Inde) par France Bhattacharya
Inédit en France, Kumudini est un roman qui fascine, enchante et ne cesse d’interroger. Ce qui explique cette tardive découverte, tient sans doute à l’aspect transgressif d’un roman d’une merveilleuse fraîcheur.
Le Magicien de la finance
Roman traduit de l’anglais (Inde) par Dominique Vitalyos
Plein d’humour et d’esprit, le Magicien de la finance fait vivre tout le petit monde de Malgudi, dans une Comédie humaine à l’indienne sur la folie des grandeurs.

L’Année des secrets
Roman traduit de l’anglais (Inde) par Catherine Richard
Dans ce magnifique roman choral, six femmes nous révèlent tour à tour une part d’un brûlant secret de famille.
Le Talisman
Nouvelles traduites du malayalam (Inde) par Dominique Vitalyos
Grand Prix de traduction de la ville d’Arles


Le Guide et la Danseuse
Roman traduit de l’anglais (Inde) par Anne-Cécile Padoux
Une fiction aventureuse, un faux gourou, les chimères des passions, et l’humour inimitable du grand Narayan !« Une satire grinçante qui dénonce l’imposture d’un prophète et la crédulité de ses adeptes. » Lire

Quatre chapitres
Roman traduit du bengali par France Bhattacharya
Au Bengale, un étudiant dévoué à une lutte dont il réprouve la violence en vient à commettre l'irréparable.

Grand-père avait un éléphant
Roman traduit du malayalam (Inde) par Dominique Vitalyos
Pattoumma est en âge de se marier. Pas si simple quand on est la fille d'une riche famille musulmane du Kerala...

Mes seuls dieux
Nouvelles traduites de l'anglais (Inde) par Alain Porte
Bouleversantes ou cocasses, parfois féroces, les nouvelles d’Anjana Appachana nous font découvrir l’Inde contemporaine du point de vue de la femme indienne, à travers les âges de sa vie.
Les Kâma-sûtra suivis de l’Anangaranga
Textes traduits du sanskrit par Jean Papin
Célèbres dans le monde entier et pourtant mal connus, ces deux classiques du savoir-vivre amoureux sont, de façon surprenante, d’incomparables textes de civilisation, documents de premier ordre sur les fondements de la religion, la morale et la société de l’Inde.
Chârulatâ
Roman traduit du bengali par France Bhattacharya
Riche brahmane accaparé par son travail, Bhupati confie sa femme, la belle et jeune Chârulatâ, à son cousin Amal... Traditionnellement acceptée dans la société indienne, cette intimité avec le jeune beau-frère prend peu à peu un tour passionné.


Les Murs et autres histoires (d’amour)
Nouvelles traduites du malayalam (Inde) par Dominique Vitalyos
Mangalam Shubam ! Que le bonheur vous sourie.C’est ainsi que Basheer ponctue ses histoires, petits contes philosophiques murmurés à l’oreille du lecteur. Toujours bienveillant même quand il lève sur l’absurdité du monde un sourcil ironique, Basheer le sage charme la réalité comme d’autres font danser les serpents.

La Lettre d’amour
Nouvelle traduite du malayalam (Inde) par Dominique Vitalyos
Tour à tour sage et loufoque, curieux comme un beau diable, toujours bienveillant même quand il est ironique, Basheer charme la réalité comme on fait danser les serpents : par la seule musique de sa prose simple et magique. Prolongez la lecture de la Lettre d’amour avec d’autres nouvelles du même auteur dans les Murs et autres histoires (d’amour).
Le fantôme de la barsati
Nouvelle traduite de l’anglais (Inde) par Alain Porte
Merveilles d’inventions narratives, les textes d’Anjana Appachana entrelacent cruauté inconsciente et enchantement amoureux, songeries amères et tendres, conflits cocasses et tragiques. Pour prolonger la lecture du Fantôme de la barsati, découvrez Mes seuls dieux, le recueil de nouvelles dont ce texte est issu. Vâtsyâyana & Kalyanamalla
Shrî Vâtsâyana Muni — les Kamâ-sûtra — devait vivre entre le IIe et le Ve siècle. Peut-être même entre le Ier et VIe siècle comme le suggère avec prudence Jean Papin, son traducteur, en « l’absence d’éléments biographiques et l’impossibilité de l’associer à une époque précise de l’Histoire ».
Ce dont on peut convenir, c’est que l’auteur des mille deux cents versets qui constituent les Kâma-sûtra ou « Livre de l’amour », a composé son ouvrage en condensant des textes d’auteurs vivant mille ou deux mille ans plus tôt. Ce qu’il annonce d’ailleurs lui-même. « Il s’appelait probablement Mallinâga ou Mrllana. Vatsâyana était son patronyme. Son titre, Shrî, indique qu’il était considéré comme un sage, ou, tout au moins, comme un homme de mérite. Enfin le mot Muni, accolé à son nom de famille, signifie ascète, ou ermite, ce qui confirme bien qu’à un certain moment de sa jeunesse il fut étudiant brahmanique (…) Par conséquent, il devait être brahmane. »
Le roi Kalyanamalla — l'Anangaranga — régna aux alentours de 1520-1540. De son nom et du ton de son ouvrage on peut déduire qu’il était de stricte obédience brahmanique « malgré son insistance, précise Jean Papin, son traducteur, à exalter les vertus de son inspirateur et noble ancêtre musulman Lâdakhâna, fils du roi Ahamada de la dynastie Lodi ».
Shrî Vâtsâyana Muni — les Kamâ-sûtra — devait vivre entre le IIe et le Ve siècle. Peut-être même entre le Ier et VIe siècle comme le suggère avec prudence Jean Papin, son traducteur, en « l’absence d’éléments biographiques et l’impossibilité de l’associer à une époque précise de l’Histoire ».
Ce dont on peut convenir, c’est que l’auteur des mille deux cents versets qui constituent les Kâma-sûtra ou « Livre de l’amour », a composé son ouvrage en condensant des textes d’auteurs vivant mille ou deux mille ans plus tôt. Ce qu’il annonce d’ailleurs lui-même. « Il s’appelait probablement Mallinâga ou Mrllana. Vatsâyana était son patronyme. Son titre, Shrî, indique qu’il était considéré comme un sage, ou, tout au moins, comme un homme de mérite. Enfin le mot Muni, accolé à son nom de famille, signifie ascète, ou ermite, ce qui confirme bien qu’à un certain moment de sa jeunesse il fut étudiant brahmanique (…) Par conséquent, il devait être brahmane. »
Le roi Kalyanamalla — l'Anangaranga — régna aux alentours de 1520-1540. De son nom et du ton de son ouvrage on peut déduire qu’il était de stricte obédience brahmanique « malgré son insistance, précise Jean Papin, son traducteur, à exalter les vertus de son inspirateur et noble ancêtre musulman Lâdakhâna, fils du roi Ahamada de la dynastie Lodi ».