Livres numériques
trier par
• Date de parution
• Auteur
• Titre
David Toscana
L’Armée illuminée
David Toscana
Un train pour Tula
David Toscana
El último lector
Vâtsyâyana & Kalyanamalla
Les Kâma-sûtra suivis de l’Anangaranga
Laurence Vilaine
La Géante
Abdourahman A. Waberi
La Divine Chanson
Tiffany Watt Smith
Le Dictionnaire des émotions
Dans Le Dictionnaire des émotions, Tiffany Watt Smith dévoile les forces étranges de notre monde intérieur.
Benjamin Wood
Le Complexe d’Eden Bellwether
Zhang Yueran
Le Clou
Shoshana Zuboff
L’Âge du capitalisme de surveillance

L’Armée illuminée
Roman traduit de l’espagnol (Mexique) par François-Michel Durazzo
Partez à la conquête de Fort Alamo, à la tête d'une armée loufoque de cinq adolescents simplets. Du grand art romanesque, servi par une verve désopilante et pleine d'ardeur.
Un train pour Tula
Roman traduit de l’espagnol (Mexique) par François-Michel Durazzo
Avec Un train pour Tula, le réalisme baroque de Toscana nous entraîne une fois de plus dans un labyrinthe de fausses pistes et d’authentiques chausse-trapes.
El último lector
Roman traduit de l’espagnol (Mexique) par François-Michel Durazzo
Prix Antonin Artaud France-Mexique
Prix Antonin Artaud France-Mexique
Dans le petit village d’Icamole, Remigio découvre le corps d’une fillette inconnue… Entre réalisme et fantastique, une réflexion virtuose sur les enjeux de la fiction, par l'un des auteurs mexicains les plus inventifs de sa génération. Jubilatoire.

Les Kâma-sûtra suivis de l’Anangaranga
Textes traduits du sanskrit par Jean Papin
Célèbres dans le monde entier et pourtant mal connus, ces deux classiques du savoir-vivre amoureux sont, de façon surprenante, d’incomparables textes de civilisation, documents de premier ordre sur les fondements de la religion, la morale et la société de l’Inde.
La Géante
Roman
Au cœur d’une nature grandiose, La Géante est un roman sensible et habité sur l’amour et les vies rêvées, sur le mensonge et les sentiers qui mènent à la clarté.
La Divine Chanson
Roman
Prix Louis-Guilloux 2015
La Divine Chanson est un roman amoureux qui s’empare d’une vie exemplaire, celle d’un chanteur, compositeur, poète afro-américain né à Chicago en 1949, dont nul ne saurait méconnaître l’immense génie et la rude destinée : Gil Scott-Heron, réinventé ici sous le nom de Sammy l’enchanteur.Prix Louis-Guilloux 2015

Le Dictionnaire des émotions
Traduit de l’anglais par Frederick Bronsen
Vous vous apprêtez à ouvrir ce livre : ressentez-vous de l’impatience, de la joie ? De la culpabilité, parce que vous êtes déjà en retard ? Ou cherchez-vous juste à mettre un mot sur un sentiment qui vous échappe…Dans Le Dictionnaire des émotions, Tiffany Watt Smith dévoile les forces étranges de notre monde intérieur.

Le Complexe d’Eden Bellwether
Roman traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Renaud Morin
Prix Baudelaire de la traduction – Prix du Roman Fnac
Un premier roman magistral sur les frontières entre génie et folie, la manipulation et ses jeux pervers.Prix Baudelaire de la traduction – Prix du Roman Fnac

Le Clou
Roman traduit du chinois par Dominique Magny-Roux
Avec Le Clou, Zhang Yueran explore comme en apnée la vie de ces générations heurtées, et elle en fait un roman unique, ultrasensible, saisissant – et très contemporain.

L’Âge du capitalisme de surveillance
Traduit de l’anglais par Bee Formentelli et Anne-Sylvie Homassel
Les géants du numérique ont fait basculer le capitalisme industriel dans une nouvelle ère que l’économiste Shoshana Zuboff a baptisée « capitalisme de surveillance ». Il s’agit d’un pouvoir sans précédent, marqué par des concentrations extrêmes de connaissances et affranchi de tout contrôle démocratique. Vâtsyâyana & Kalyanamalla
Shrî Vâtsâyana Muni — les Kamâ-sûtra — devait vivre entre le IIe et le Ve siècle. Peut-être même entre le Ier et VIe siècle comme le suggère avec prudence Jean Papin, son traducteur, en « l’absence d’éléments biographiques et l’impossibilité de l’associer à une époque précise de l’Histoire ».
Ce dont on peut convenir, c’est que l’auteur des mille deux cents versets qui constituent les Kâma-sûtra ou « Livre de l’amour », a composé son ouvrage en condensant des textes d’auteurs vivant mille ou deux mille ans plus tôt. Ce qu’il annonce d’ailleurs lui-même. « Il s’appelait probablement Mallinâga ou Mrllana. Vatsâyana était son patronyme. Son titre, Shrî, indique qu’il était considéré comme un sage, ou, tout au moins, comme un homme de mérite. Enfin le mot Muni, accolé à son nom de famille, signifie ascète, ou ermite, ce qui confirme bien qu’à un certain moment de sa jeunesse il fut étudiant brahmanique (…) Par conséquent, il devait être brahmane. »
Le roi Kalyanamalla — l'Anangaranga — régna aux alentours de 1520-1540. De son nom et du ton de son ouvrage on peut déduire qu’il était de stricte obédience brahmanique « malgré son insistance, précise Jean Papin, son traducteur, à exalter les vertus de son inspirateur et noble ancêtre musulman Lâdakhâna, fils du roi Ahamada de la dynastie Lodi ».
Shrî Vâtsâyana Muni — les Kamâ-sûtra — devait vivre entre le IIe et le Ve siècle. Peut-être même entre le Ier et VIe siècle comme le suggère avec prudence Jean Papin, son traducteur, en « l’absence d’éléments biographiques et l’impossibilité de l’associer à une époque précise de l’Histoire ».
Ce dont on peut convenir, c’est que l’auteur des mille deux cents versets qui constituent les Kâma-sûtra ou « Livre de l’amour », a composé son ouvrage en condensant des textes d’auteurs vivant mille ou deux mille ans plus tôt. Ce qu’il annonce d’ailleurs lui-même. « Il s’appelait probablement Mallinâga ou Mrllana. Vatsâyana était son patronyme. Son titre, Shrî, indique qu’il était considéré comme un sage, ou, tout au moins, comme un homme de mérite. Enfin le mot Muni, accolé à son nom de famille, signifie ascète, ou ermite, ce qui confirme bien qu’à un certain moment de sa jeunesse il fut étudiant brahmanique (…) Par conséquent, il devait être brahmane. »
Le roi Kalyanamalla — l'Anangaranga — régna aux alentours de 1520-1540. De son nom et du ton de son ouvrage on peut déduire qu’il était de stricte obédience brahmanique « malgré son insistance, précise Jean Papin, son traducteur, à exalter les vertus de son inspirateur et noble ancêtre musulman Lâdakhâna, fils du roi Ahamada de la dynastie Lodi ».